Une série B qui promène Mitchum de Monaco à Stockholm, avec des espions à tous les coins de rue, ça ne se refuse pas.
Mardi 9 mai, 20 h, Théâtre des Variétés.
Le site Le Mag Auto Prestige est présent à Monaco, depuis samedi dernier, dans le cadre de l’European Poker Tour Monte Carlo présenté par le Monte-Carlo Casino, pour un partenariat entre les sites du groupe Le Mag et PokerStars (l’EPT Monte Carlo.), sponsor officiel de l’écurie Red Bull en F1.
Au volant d’une Ferrari F8 Spider, sous la pluie monégasque
L’opportunité a été offerte de prendre les commandes de la somptueuse Ferrari F8 Spider. Et en guise de terrain de jeu, c’est sur une bonne partie du tracé utilisé par les Formule 1, pour le Grand-Prix de Monaco, que les rédacteurs du site ont pu découvrir la bête. Sachant qu’à quelques jours de l’ePrix de Monaco, la piste était pour ainsi dire en conditions course. Voici donc la séquence, filmée depuis l’habitacle de l’hypercar italienne. Malheureusement, le soleil n’était pas au rendez-vous…
La société Ookla, qui analyse la performance d’accès à Internet dans le monde, fournit un classement des pays qui ont la connexion internet la plus rapide. La France n’est pas dans le top 10.
Rien de pire qu’une page web qui met du temps à charger. Aujourd’hui, nous sommes tous à la recherche du réseau et de l’appareil le plus performant, à la milliseconde près, qui nous permet de patienter le moins longtemps pour avoir accès à Internet. Une vidéo trop longue à charger et on s’arrache les cheveux !
Mais certains pays sont plus performants que d’autres. Voici le classement des 10 pays qui ont le meilleur accès à Internet. Ce classement ne concerne que les postes fixes, le classement mobile étant légèrement différent.
Pour que même les non-initiés puissent comprendre ce classement, il y a quelques termes à comprendre en premier lieu.
Les Mbps correspondent aux mégabits par secondes. Un mégabit est une unité de mesure de la taille des données.
Le temps de latence, c’est la mesure de la durée d’attente entre une information entrante et sa réponse. C’est-à-dire le temps que va mettre votre ordinateur, téléphone ou tablette à traiter les informations dont vous avez besoin ou que vous lui donnez.
Singapour
Singapour est le champion du monde de vitesse sur Internet ! Que ce soit pour télécharger un contenu sur Internet ou pour en exporter un depuis votre poste fixe, c’est à Singapour que c’est le plus rapide. En effet, le temps de latence n’est que de 4 ms, soit 0,004 seconde. La vitesse de téléchargement est de 235,40 Mbps et de 200,71 Mbps pour les transferts.
En revanche, la cité-État est loin d’être en première place en ce qui concerne le classement sur mobile. Elle y est placée 22ᵉ.
Émirats arabes unis
Juste derrière Singapour, il y a les Émirats Arabes Unis. Ses internautes n’ont pas de quoi rougir face à ceux qui sont juste au-dessus dans le classement puisque le temps de latence n’y est que de 5 ms. La vitesse de téléchargement est de 221,87 Mbps et de 103,43 Mbps pour les transferts.
De plus, le pays est premier du classement de rapidité sur mobile.
Chili
Très légèrement derrière les Émirats Arabes Unis, le Chili bénéficie également d’une très bonne connexion à internet en moyenne. Les utilisateurs d’Internet sur un poste fixe bénéficient d’un temps de latence de 6 ms. La vitesse de téléchargement est de 220,39 Mbps et de 129,7 Mbps pour les transferts.
Le classement est largement moins bon en ce qui concerne la connexion sur mobile. En effet, le Chili est 73ᵉ !
Chine
La Chine se classe juste après le Chili, mais la vitesse d’exécution des taches sur Internet y est beaucoup moins bonne. Le temps de latence y est de 13 ms sur un poste fixe. La vitesse de téléchargement est de 216,83 Mbps et de 38,44 Mbps pour les transferts.
Pour le mobile, elle est 8ᵉ du classement.
Danemark
Le Danemark est 5ᵉ des classements fixe et mobile. C’est peut-être le pays qui a le meilleur compromis. La rapidité de téléchargement est très bonne puisqu’elle est de 7 ms. La vitesse de téléchargement est de 203,78 Mbps et de 109,86 Mbps pour les transferts.
Thaïlande
La Thaïlande se classe, elle aussi, très haut ! Le temps de latence pour les internautes sur un poste fixe est de 5 ms, la vitesse de téléchargement est de 201,02 Mbps et de 172,89 Mbps pour les transferts.
Elle est beaucoup plus loin dans le classement mobile puisqu’elle est 53ᵉ.
Monaco
La principauté est bien plus haute que la France dans le classement, alors qu’elles sont voisines. Le temps de latence y est de 5 ms, la vitesse de téléchargement est de 199,19 Mbps et de 137,20 Mbps pour les transferts.
Monaco n’est, en revanche, pas dans le classement mobile.
États-Unis
On aurait pu croire que le pays qui abrite la Silicon Valley serait bien plus haut dans le classement ! Pourtant, les États-Unis ne sont pas les meilleurs, bien que leur place reste tout de même élevée. Le temps de latence y est de 13 ms, le temps de téléchargement de 197,84 Mbps, et de 23,2 Mbps pour les transferts.
Le pays qui a vu naître les plus grandes technologies se classe 19ᵉ dans le classement mobile.
Hong-Kong
Avant-dernier du Top 10, Hong Kong fait tout de même de belles performances avec son réseau internet fixe. Le temps de latence y est de 4 ms, le temps de téléchargement est de 197,24 Mbps, et de 139,34 pour les transferts.
Hong-Kong se place 40ᵉ du classement mobile.
Roumanie
Enfin, les internautes en Roumanie bénéficient d’une connexion fixe à Internet qui n’a pas à rougir face aux autres.
Le temps de latence y est de 5 ms, le temps de téléchargement de 179,65 Mbps et de 112,44 pour les transferts.
Lire l’article original sur cnews.fr
L’institut de la statistique vient de mettre en ligne « Focus : Le numérique à Monaco 2022 », consacré à l’économie du numérique en Principauté.
En 2022, le secteur du numérique en Principauté de Monaco a enregistré un total de 984 établissements actifs, soit une augmentation de 6,0 % par rapport à l’année précédente. Cette croissance est également supérieure à celle de la période d’avant-crise, avec 149 structures supplémentaires par rapport à 2019, soit une augmentation de 17,8 %. Cette tendance haussière s’observe également sur la décennie écoulée, avec une progression significative de 68,8 % du nombre d’établissements du numérique à Monaco.
La part d’établissements du numérique dans le total d’entités actives en 2022 est de 8,8 %, en augmentation de 0,2 point par rapport à l’année précédente, témoignant d’une croissance régulière depuis 2017. Parmi ces établissements, près d’une structure sur deux (48,4 %) relève de la Publicité-Communication, tandis que 39,8 % appartiennent aux Technologies de l’information et de la communication (TIC). Ces deux groupes enregistrent le plus de créations et de radiations définitives, mais leurs soldes restent largement positifs (+21 et +32 respectivement).
Le groupe Contenus et supports compte quant à lui plus d’un établissement sur dix, avec une légère augmentation de 3 entités supplémentaires cette année.
Enfin, il convient de souligner que le chiffre d’affaires du numérique à Monaco s’approche du milliard, confirmant l’importance économique de ce secteur en pleine croissance.
Un mouvement social national interprofessionnel est prévu le jeudi 20 avril 2023, la circulation des trains sera perturbée du 19 au 21 avril 2023.
Les plans de transport des journées du 19 et du 20 avril 2023 ne sont pas encore disponibles sur le site TER SUD Provence Alpes Côte d’Azur. Concernant ces deux journées, je vous prie de trouver ci-dessous les particularités transmises par le transporteur.
Pour le mercredi 19 avril 2023, avec les particularités suivantes concernant cette journée : 2 trains sont supprimés sur un total de 87 trains devant circuler avec comme dernier train pour la direction de :
- Nice/Cannes : 21h05
- Menton : 21h14
- Vintimille : 20h44
Et pour le jeudi 20 avril 2023, avec les particularités suivantes concernant cette journée : 17 trains sont supprimés sur un total de 87 trains devant circuler avec comme dernier train pour la direction de :
- Nice/Cannes : 19h48
- Menton : 19h14
- Vintimille : 18h14
La Principauté de Monaco a récemment franchi une étape importante dans le domaine de la coopération internationale en soumettant, pour la première fois de son histoire, des données sur son Aide publique au développement (APD) à l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Cette démarche témoigne de l’engagement de Monaco à renforcer la transparence et la crédibilité de ses actions en matière de développement international.
En transmettant ces informations à l’OCDE, Monaco souligne son engagement en faveur du développement durable et renforce sa position sur la scène internationale. La Principauté, bien que de petite taille, a toujours joué un rôle actif dans la promotion de la paix, de la sécurité et du développement durable à travers le monde. Cette soumission de données vient renforcer cette image.
L’APD représente l’aide financière, technique et administrative fournie par les pays développés aux pays en développement, afin de les aider à améliorer leurs conditions de vie et à atteindre les objectifs du Programme de développement durable à l’horizon 2030. L’OCDE, en tant qu’organisation internationale, joue un rôle clé dans la coordination et la supervision des efforts des pays membres en matière d’APD.
La soumission des données par Monaco à l’OCDE est une étape cruciale pour garantir une meilleure compréhension des efforts de la Principauté en matière d’aide au développement et pour faciliter la coordination et la coopération avec d’autres pays et organisations internationales. Cette démarche démontre également la volonté de Monaco de se conformer aux normes et aux exigences internationales en matière de transparence et de responsabilité.
La coopération internationale et l’aide au développement sont des éléments clés de la politique étrangère de la Principauté de Monaco. Le pays s’engage activement dans de nombreux projets internationaux et collabore étroitement avec des organisations telles que les Nations Unies, l’Union européenne et d’autres organisations régionales et internationales.
Le Gouvernement Princier s’est félicité de la décision du Conseil National du 13 avril dernier d’adopter le projet de loi n° 1.070 portant création de la Caisse Monégasque de Retraite Complémentaire. Cette initiative a été lancée en décembre 2013, lorsque les partenaires sociaux monégasques (FEDEM et USM) ont signé l’avenant n° 21 à la Convention Collective Nationale de Travail, qui a établi le principe du retour des régimes de retraite complémentaire à Monaco.Le régime AGIRC ARRCO a été géré de manière efficace et vertueuse par les partenaires sociaux au travers de Commissions paritaires, assurant sa stabilité pour les salariés et les entreprises de la Principauté depuis 1965. Cependant, les réglementations française et monégasque en matière de retraite ont progressivement divergé, notamment en ce qui concerne l’âge légal de départ à la retraite.
Dans un souci de cohérence réglementaire, la Direction des Affaires Sociales et de la Santé a collaboré depuis plusieurs années avec les partenaires sociaux monégasques, les Caisses Sociales de Monaco et l’AGIRC ARRCO pour mettre en place un fonds de retraite complémentaire monégasque. Ce fonds permettra aux futurs cotisants de gérer eux-mêmes le régime en tenant compte des éléments contextuels propres à la Principauté de Monaco.
La création de ce fonds autonome monégasque est la première étape vers le rapatriement du régime de retraite complémentaire des salariés en Principauté, avec une date fixée au 1er janvier 2024. C’est aussi une étape importante et nécessaire dans les discussions en cours avec l’AGIRC ARRCO, qui se déroulent dans un climat de confiance mutuelle. Ces discussions portent sur les modalités pratiques et financières du rapatriement du régime, ainsi que sur la garantie financière que l’Etat de Monaco apportera à la Caisse en cas de défaillance de celle-ci.
Depuis plus de 4 ans, Monaco Telecom déploie un réseau de fibre optique en Principauté. Aujourd’hui, le réseau est couvert à 100%, à l’exception des bâtiments en cours de rénovation. Ce choix stratégique de l’Etat concessionnaire offre un réseau plus performant pour accompagner l’évolution des usages en matière de télécommunications. L’ancien réseau en cuivre était optimal pour la téléphonie fixe, mais les usages des particuliers et des professionnels ont évolué. Le réseau fibre est désormais proposé aux usagers et peut couvrir les volumes nécessaires pour assurer des télécommunications performantes.
Le cuivre, un réseau en fin de vie
Déployé dès les années 1970, le réseau cuivre a servi à l’installation des téléphones analogiques et a été le support des premières lignes Internet de type ADSL et VDSL. Il supporte encore aujourd’hui les connexions Internet de 900 foyers sur 16 500 connectés et de 2 300 entreprises. D’autre part, plus de 6 000 lignes téléphoniques de résidents et près de 1 550 centraux téléphoniques d’entreprises et de services administratifs sont encore raccordés à la prise T.
Depuis 40 ans, le réseau cuivre assure des services spécifiques comme la téléalarme au service des aînés, les lignes de sécurité pour les ascenseurs, les lignes alarmes point-à-point pour la Sûreté Publique ou encore les liaisons numériques directes, etc.
Cependant cette technologie est devenue obsolète et les équipements qui la supportent ne sont plus disponibles, ce qui présente un risque d’arrêt brutal et total des services. Monaco Telecom pourrait ne pas être en mesure de remplacer certains éléments techniques qui tomberont inévitablement en panne. Cependant, la technologie de la fibre offre de nombreux avantages tels que des vitesses de transfert plus élevées, une meilleure stabilité et fiabilité face aux intempéries, et une maintenance moins coûteuse. Cette migration vers la fibre placera Monaco parmi les pays les plus avancés dans ce domaine, rejoignant ainsi Andorre, Jersey, Singapour, et la Norvège. Avec une vitesse 200 fois supérieure à celle du cuivre et une plus grande stabilité, cette transition est un pas en avant significatif pour l’avancée technologique de Monaco.
La bascule vers la Fibre nécessite une intervention des techniciens Monaco Telecom pour raccorder le logement ou le local au nouveau réseau et ainsi brancher les nouveaux équipements. Cette opération est gratuite et se fait quotidiennement avec succès depuis 2 ans.
Ils sont amarrés depuis février 2022 dans les ports… et ils coûtent cher. Il y a un an, avec l’invasion de l’Ukraine, les pays occidentaux se précipitaient pour saisir les avoirs d’oligarques russes soutenant Vladimir Poutine. Parmi ces saisies, il y avait notamment de luxueux yachts, notamment en Méditerranée.
Problème : ces bateaux ultra-luxueux doivent être maintenus en état pour ne pas perdre leur valeur, les pays qui les ont saisis sont donc forcés de débourser des millions d’euros.
Radars anti-missiles, sous-marins et héliports rétractables
Le cas le plus emblématique est celui du Yacht A, le plus grand voilier du monde, vissé depuis un an au quai du port de Trieste, en Italie, faute de pouvoir identifier son véritable propriétaire, censé être Andrey Melnichenko. Le navire dont le prix d’achat a été évalué à 417 millions a déjà coûté plus de sept millions d’euros aux contribuables italiens.
La République dominicaine aussi se débat avec l’un de ces navires, dont elle doit débourser environ 10% de la valeur totale pour assurer son entretien. Ce chiffre peut encore gonfler selon les caractéristiques de chaque bateau. « Certains ont des radars anti-missiles, d’autres leurs propres sous-marins ou des héliports rétractables, explique Alex Finley, ancienne agente de la CIA, désormais spécialiste de l’influence russe reconvertie en traqueuse de Yachts. Toutes ces technologies demandent de la maintenance. Pas forcément pour que tout marche parfaitement, mais, au moins, pour que ces appareils ne présentent aucun danger pour le personnel du port ou pour l’équipage. » Des équipages, aujourd’hui comme prisonniers de ces yachts de luxe.
C’est le cas des marins de l’Amore Vero, 86 mètres de long, propriété du milliardaire russe Igor Setchine, amarré à la Ciotat, dans les Bouches-du-Rhône. Mais dans ce cas, l’entretien reste assuré par l’une des sociétés écrans du propriétaire.
Le jury 2023 du « Coup de Cœur des Lycéens », composé d’élèves des Lycées Technique et Hôtelier, Albert Ier, et François d’Assise Nicolas Barré, a procédé à la sélection finale des candidats au prix. Ce prix annuel, créé en 2007, récompense le premier roman d’un jeune écrivain. Sur une première sélection de huit romans présentés en début d’année scolaire, les ouvrages suivants ont été retenus :
- Judith ELMALEH, Une reine, Robert Laffont
- Mona MESSINE, Biche, Livres agités
- Julia MINKOWSKI, Par-delà l’attente, JC Lattès
- Léna PAUL-LE-GARREC, Lulu, Buchet Chastel
- Mathieu PIEYRE, The English teacher, Éditions Arléa
Le 6 juin, les auteurs sélectionnés présenteront leurs romans au jury lors d’une réunion au Lycée Technique et Hôtelier. Les élèves disposeront ensuite des vacances d’été pour achever leurs dernières lectures et délibérer sur leur sélection finale avant le vote qui débutera à la rentrée prochaine. Le lauréat sera annoncé lors de la cérémonie de remise des prix de la Fondation Prince Pierre, le 10 octobre 2023, à Monaco.
La Fondation Princesse Grace a doté le Coup de Cœur des lycéens d’un prix de 6 000 euros.