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Sortir

La Bohème : première !

par 24 janvier 2020
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Déjà présent l’année dernière au mois d’avril pour Otello, le Chœur d’enfants de l’Académie de musique Rainier III sera à nouveau sur la scène de l’Opéra de Monte-Carlo, entouré de grands noms comme Irina Lungu (Mimi), Mariam Battistelli Soprano (Musetta), Andeka Gorrotxategi (Rodolfo) ou encore Davide Luciano (Marcello).

A découvrir les 24, 26, 29 et 31 janvier !

Informations : +377 98 06 28 28 / ticket@opera.mc
Photographie © 2020 – Alain Hanel – OMC

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24 janvier 2020 0 comments
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Environnement

Tara Pacific, Les Premières Publications

par 24 janvier 2020
1 minutes read

L’expédition Tara Pacific, coordonnée par le Centre Scientifique de Monaco et le CNRS, a permis durant plus de 2 ans de parcourir 100 000 km à travers l’océan Pacifique afin d’explorer les récifs de coraux de cet Océan. C’était la première fois qu’une expédition de cette envergure, à la fois sur le nombre de récifs étudiés (30 pays, 40 sites récifaux), sur le nombre de paramètres mesurés (35 000 échantillons collectés) ou sur le nombre de participants (23 institutions internationales appartenant à 8 pays, plus de 100 scientifiques) était réalisée.

Aujourd’hui, alors que les échantillons sont toujours en cours d’analyse, les premières publications commencent à sortir. Alors qu’une dizaine d’articles spécifiques ainsi que l’article descriptif de l’expédition ont déjà été publiés, le premier article du Consortium vient d’être publié dans Frontiers in Marine Science. Cet article décrit les méthodologies innovantes développées par les chercheurs de l’Institut de la Mer de Villefranche (Laboratoire d’Océanographie de Villefranche) avec le Consortium Tara Pacific, dont le Pr Denis Allemand et les Drs Stéphanie Reynaud et Didier Zoccola, afin d’étudier les communautés des couches de surface.

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24 janvier 2020 0 comments
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Brèves

Perturbation du trafic bus pour la Sainte-Devote

par 24 janvier 2020
0 minutes read

Dans le cadre de la procession de la Sainte-Dévote qui se tiendra Dimanche  26 janvier 2020, des perturbations sont à prévoir sur le Bd Albert 1er et l’avenue d’Ostende entre 18h40 et 19h15.

Une coupure de la circulation entraînera des retards sur nos lignes et une attente prolongée à l’arrêt bus.

24 janvier 2020 0 comments
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Culture

Deux jours de célébrations pour Sainte-Dévote

par 24 janvier 2020
1 minutes read

Comme le veut la tradition, la commémoration de la légende de la Sainte s’étaleront sur deux journées.

DIMANCHE 26 JANVIER 2020

  • 10h30 Eglise Sainte Dévote : messe des traditions, en langue monégasque. Bénédiction de la mer
  • 18h40 Départ de la Procession Route de la Piscine
  • 18h45 Arrivée de la barque Quai Jarland (Route de la Piscine) : Envol de la colombe, remise des reliques et bénédiction de la ville, reprise de la procession
  • 19h00 Eglise Sainte Dévote : Salut du Très Saint Sacrement présidé par S.Exc. Mgr Bernard Barsi en présence de S.A.S. le Prince le Prince Albert II et de la Famille Princière
  • 19h30 Parvis de l’église Sainte Dévote : Embrasement de la Barque Symbolique par la Famille Princière
  • Quai Rainier III : Feu d’artifice pyromusical

LUNDI 27 JANVIER 2020

  • 9h50 Cathédrale : accueil des Reliques par les Membres du Clergé et de la Vénérable Archiconfrérie de la Miséricorde.
  • 10h00 Cathédrale : Messe Pontificale présidée par Mgr Barsi, Archevêque de Monaco

Programme musical

  • Entrée : Grand-Orgue
  • Chant d’entrée : « Cantique à Sainte Dévote » – Mgr Louis-Lazare Perruchot
  • Ordinaire : Missa brevis VIII « de Angelis » – Henri Carol (alternée plain-chant / polyphonies)
  • Psaume responsorial 33 : « Qui regarde vers Dieu resplendira » – Jehan Revert (trois versets chantés)
  • Alleluia : n° 1 en ré mineur – Philippe Mazé
  • Credo : III
  • Prière universelle : « Seigneur entends la prière qui monte de nos coeurs »
  • Offertoire : Grand-Orgue
  • Anamnèse : « Il est grand le mystère de la Foi »
  • Communion : Grand-Orgue
  • Chant de communion : « Chante le Seigneur mon âme » – John Goss / Jean-Paul Lécot
  • Prière pour S.A.S. le Prince Souverain
  • Bénédiction Pontificale Solennelle
  • Sortie : Grand-Orgue
  • Maîtrise de la Cathédrale et Petits Chanteurs de Monaco, Direction : Pierre Debat, Maître de Chapelle
  • Grand-Orgue : Olivier Vernet, Titulaire
  • Orgue de choeur: Jean-Cyrille Gandillet, Titulaire
24 janvier 2020 0 comments
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Sport

L’oeil de L’ingénieur sur Le Rallye Monte-Carlo

par 22 janvier 2020
13 minutes read

Dans cette première chronique « L’œil de l’ingénieur » de la saison, Cédric Mazenq nous emmène sur les routes du Monte-Carlo, la manche la plus prestigieuse du championnat du monde des rallyes.

Ce rallye comporte tous les ingrédients pour en faire un rallye très spécial.

Le calendrier tout d’abord, car depuis toujours, ce RDV a la chance de débuter la saison, avec toute l’excitation que cela véhicule : mercato animé, nouvelles têtes, nouveaux teams , nouvelles autos… L’intersaison 2019/2020 nous a particulièrement gâté de ce côté-là, parce qu’outre le retrait de Citroën, le jeu de chaises musicale hivernal nous promet un début de saison des plus indécis… Tous les pilotes sont remontés à bloc, avec l’envie d’enfin en découdre.

Deuxième ingrédient, le profil et les conditions météo. Le Monte-Carlo, c’est évidemment LE rallye atypique s’il en est. Il n’est ni considéré comme un rallye asphalte, ni comme un rallye neige. C’est un rallye qui propose tout et son contraire, et qui le rend de ce fait complètement à part des autres, car souvent imprévisible. On ne sait jamais avant la rallye si on va avoir droit à une édition banale ou une édition complètement folle. Cette inconnue rajoute beaucoup de piment à ce RDV. En terme de préparation, c’est également complètement à part : les teams se réservent des jours en fin d’année sur le quota de l’année N-1, et à nouveau les premiers jours d’essais de l’année N. Pas rare qu’au cumul les teams passent pas loin d’une petite dizaine de jours à préparer ce seul rallye : en cela aussi ce rallye est unique et singulier. En terme de pilotage, c’est le rallye qui met le plus en valeur le pilote par rapport à la voiture. Pour gagner, il faut être à la fois le plus intelligent, le plus constant, voire carrément le plus malin. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard de voir que les 2 Sébastien(s) sont les seuls à avoir gagné la plupart des dernières éditions, expérience oblige.

Enfin dernier ingrédient et pas des moindres, cette épreuve représente tellement plus qu’un seul rallye : des tonnes d’histoires à rebondissements, des joies, du suspense, des drames : c’est en tout cela véritablement un monument du patrimoine rallye mondial.

TECHNIQUE

C’est évidemment le rallye qui met en valeur comme nulle part ailleurs les choix de pneumatiques. Toute la préparation avant rallye, tous les briefings, tous les moments chauds de fin de service tournent autour de cette satanée question redondante et obsessionnelle : quels sont les bons pneus pour cette boucle de spéciale ? Ou plus exactement, quels sont les moins pires ? Les choix de pneus peuvent faire gagner ou perdre le rallye. La disparité dans les choix sur un Monte Carlo entre les concurrents n’a pas d’égal.

Commençons par le commencement , et le premier aspect capital, à l’origine de tout : c’est le seul rallye de l’année ou le choix de pneus peut se porter sur 4 gommes différentes : Slick SOFT, Slick SUPER SOFT, Neige sans clous, Neige avec clous.

En parallèle, les ingénieurs et les teams dénombrent pas loin de 10 conditions de routes différentes. On cherche un niveau de détail plus fin et plus précis que sur les autres rallyes asphalte. De 100% sec à 100% enneigé, avec toutes les variantes et les nuances intermédiaires : humide, mouillé, détrempé, verglacé, givré….. Je vous passe les détails de température, de micro/macro rugosité et des différences de dénivelés !

Quand on met en relation les types de gommes disponibles et les types de conditions rencontrées, on a la base d’une matrice à double entrée. Compléter cette matrice est le travail des teams, ingénieurs et pilotes durant les essais. Alors, quelles sont ces données gardées comme les codes de l’armée nucléaire par chacun des teams ? Il s’agit des écarts entre chacune des configurations pneumatiques en fonction des conditions de route, exprimés en s/km : les fameux « écarts au kil’ » ! Prenons un exemple : une route 100% sèche et à une température de 10°. Le meilleur choix va être 4 Slicks SOFT. Si je mets 4 Super SOFT , je vais perdre x s/km, si je mets 4 clous je vais perdre y s/km…

L’un des jobs le plus important durant les tests est donc de définir (ou plutôt de confirmer) les écarts au kilomètre entre les différentes gommes, et ce pour la plupart des conditions, d’où l’importance, entre autres bénéfices, de trouver une multitude de conditions différentes pour préparer le rallye. C’est un travail colossal pour simuler et rencontrer toutes les conditions possibles en essais, même si l’expérience se transmet d’année en année dans les teams.

C’est en partie ce travail spécifique de préparation qui fait d’un Monte-Carlo un rallye qui exige un travail double voire triple pour les ingénieurs par rapport à n’importe laquelle des autres manches du WRC.

Ce job préalable permet de préparer en amont des modèle mathématiques capables de définir les écarts en seconde sur des ensembles de 2 /3 voire 4 spéciales consécutives, avec des conditions différentes. C’est une routine qui permet de réagir rapidement le jour J, dans le stress et l’urgence que représente le moment fatidique du choix définitif.

Second aspect important à évoquer, celui des reconnaissances. Il faut définir le plus précisément l’état de la route dans chaque spéciale en répertoriant les différences de conditions de route. En plus des équipages, les ingénieurs et les ouvreurs participent studieusement aux reconnaissances, parfois en même temps, voire à la même heure que le passage des autos en course, afin de se retrouver au plus prêts des conditions d’ensoleillement / température que durant la course. Le but ? Emmagasiner un maximum d’informations d’évolutions des conditions de route, mais surtout se créer un référentiel commun : les conditions de route du passage de recos. Les discussions se réfèreront plus tard durant la course à ce socle commun entre équipages / ingés et ouvreurs : plus sec/plus givré / plus sale… que pendant les recos.

Troisième aspect CA-PI-TAL, déjà abordé avec leurs rôles qui débutent durant les recos voire même pendant les essais d’avant rallye, celui des ouvreurs. Ils sont des acteurs primordiaux pour établir les choix de pneus. En complément de la correction des notes, qui reste leur rôle majeur, ils doivent également décrire la route aux ingés en détaillant km par km toutes les conditions de routes rencontrées, le plus précisément possible, mais également se prononcer sur un choix de pneus optimal en fonction de l’ES qu’ils viennent de faire. Nous avions déjà évoqué ce sujet rapidement en Espagne, mais leur rôle est déterminant au Monte Carlo. Pas étonnant que ce rôle ingrat soit tenu par d’anciens excellents pilotes.

Pour l’horaire de passage des ouvreurs, là aussi deux écoles ou stratégies sont possibles : la première est de passer tôt pour faire l’ensemble de la boucle avant la sortie du parc d’assistance et ainsi avoir une vision globale. Seul problème, les infos ne seront pas « récentes » ; la seconde est de partir au dernier moment pour avoir les infos les plus fraiches de la 1ère ES de la boucle, mais sans avoir la vison de la boucle complète…. C’est un gros travail de synchronisation et de logistique, qui est souvent chapeauté par une personnes dédiée à 100%.

Enfin, dernier aspect (sinon ce serait trop simple !), l’aspect météorologique et prévisions, qui rajoute un facteur de risque non négligeable. On peut (si on est bon et que l’on a bien travaillé !) envisager trouver un bon choix de pneus en fonction de conditions que l’on connait : c’est une autre paire de manches quand il faut faire un choix des heures avant le passage des voitures en course ! Le travail du prévisionniste est alors capital pour recouper les modèles et avoir des prévisions avec le moins d’incertitudes possibles.

Voilà ! En résumé, c’est un challenge de tous les instants, et le nombre de paramètres influents laissent une grosse part à l’instinct : Il n’y a pas de solution idéale, mais chaque pilote, en fonction de son ressenti, de ses points forts, de sa voiture, de son ordre de passage, peut avoir « sa » solution idéale.

On comprend mieux pourquoi les pneus représentent environ 70% des performances d’un équipage sur un Monte-Carlo.

C’est toujours délicat et frustrant pour les pilotes car ils ne pilotent à aucun moment une voiture optimale, mais plus souvent un compromis, « sensé » être la moins pire des solutions sur l’ensemble d’une boucle. Surtout depuis l’avènement légitime des choix croisés, en diagonal. Depuis dix ans, cette « mode » fait quasiment légion. C’est le compromis par excellence avec une alternance des gommes sur la voiture. En cas de doute, les concurrents prennent six roues plutôt que cinq, pour avoir plus de combinaisons possibles. On voit par exemple des choix 3+ 3 de plus en plus fréquemment (par exemple 3 clous et 3 soft pour attaquer deux spéciales sèches et une neige).

Pour parler chiffre, dans l’équipe, beaucoup de personnes sont impliquées dans ces fameux choix de pneus. On peut ainsi citer les ouvreurs (2 personnes), l’ingénieur d’exploitation (1), l’ingénieur performance (1), le météorologue (1), le team manager (1) et l’équipage bien évidemment (2). Mais c’est bien le pilote qui a le dernier mot au final.

Dernier élément, chaque équipe ne se gêne évidemment pas pour espionner et regarder les choix des autres teams, ce qui confère un avantage de partir le dernier.

C’est clairement pour toutes ces raisons un des rallyes le plus excitant de l’année pour les ingénieurs et les équipes. On peut passer « de héros à zéros » (!) au regard d’un bon ou d’un mauvais choix de pneus. Le travail du bon ingénieur est de minimiser autant que possible les incertitudes.

ERREURS A NE PAS FAIRE

Au Monte-Carlo plus qu’ailleurs, il ne faut jamais baisser les bras. La vérité d’une ES n’est jamais la vérité d’une boucle, et la vérité d’une boucle jamais celle du rallye. On a observé à de multiples reprises des cas d’écoles : 2 ES dans une boucle, une 100% neige, l’autre 100% sèche. On peu perdre 1 minute dans une ES et les reprendre dans la suivante, pour finalement rentrer à quelques secondes d’écart avec un concurrent ayant fait une choix inverse. Donc plus que partout ailleurs, il est important de na pas céder à la panique, et de garder la tête froide. Cela demande une grande maitrise, une confiance forte en l’équipe également. L’ingénieur a souvent un rôle important pour glisser le mot qui rassure, qui détend, qui remobilise. Pour résumer, maturité plus que fougue est la clé pour gagner ce rallye.

JUGE DE PAIX

Les conditions météos sont toujours responsables du juge de paix. Je vous dirais donc ça lors de ma prochaine chronique ! Avant le départ, on ne sait pas où, ni quand, mais il y aura très certainement « UN » choix de pneus délicat à faire et c’est là où le Monte-Carlo sera gagné ou perdu pour certains. Les spéciales en altitude sont évidemment plus propices à ce genre d’événements, car plus sujettes à la neige au givre ou au verglas.

ANECDOTES

Pour une fois, je vais évoquer un souvenir de gamin qui m’a énormément marqué. En 1991, j’assiste au Monte-Carlo en tant que spectateur jusqu’au samedi soir. Le lendemain, devant ma TV en famille, je regarde en direct l’un des événements les plus marquants de cette épreuve avec le désormais célèbre « j’ai pas tapé » de François Delecour, en larmes à l’arrivée du Turini. « On t’aime François ! » Tous les amoureux de rallye de ma génération ont vu et revu ces images légendaires. C’est pour moi un grand moment de sport auto, et a certainement participé à ma vocation future.

Enfin beaucoup plus près de nous, j’ai vécu l’un des moments les plus émouvants de ma carrière d’ingénieur. On est en 2015. Cette année là, déjà impliqué en WTCC depuis une saison, le retraité le plus célèbre du WRC décide de faire un come back après un an et demi d’absence : Sébastien Loeb participe au rallye de Monte Carlo. J’ai la chance et la responsabilité d’être à ses côtés. Pour décrire un peu le contexte, Citroën depuis l’abandon de son programme officiel en WRC et son programme WTCC s’est habitué à manger son pain noir : Meeke et Otsberg ont fait de la résistance (honorablement) toute la saison 2014, en tant que semi officiel dans la structure PH Sport. La saison se présente sous le même acabit. Autant dire que la venue de Loeb est vécue comme un véritable bonbon des Vosges… La préparation s’est bien passée, même si elle fut écourtée, et tous se demandent bien où Seb et Danos vont pouvoir se situer. Pour montrer qu’ils ne sont pas venu trier les lentilles, Seb se permet de réaliser le meilleur temps du shakedown. Le contexte est donc posé.

On est donc 5 min avant le départ de l’ES1 Entrevaux, qui ouvre le bal de nuit, où le givre et la glace ont majoritairement recouvert la chaussée. Le LIVE est diffusé sur un écran du camion motorhome de Citroën, et un second écran situé en dessous diffuse les splits. Ogier a ouvert la route, champion en titre et numéro 1 sur les portières. Seb est 14ème sur la route. Tous ont 4 clous sur la voiture. Autour de moi, les membres du team, en petit comité, tous sous pression. Moins de monde qu’à l’accoutumée, car il a fallu se déplacer jusqu’à la Tyre Fitting Zone (zone de changement de pneus) pour certains.

Je me souviens de chacun des splits de cette ES. Les halos de phares de la DS3 qui brisent la nuit ont créé une atmosphère indescriptible que seuls les gens présents dans le camion à cet instant précis se souviennent et peuvent comprendre. Nous étions tous étrangement silencieux, et je ne crois pas me souvenir de si peu de bruit dans ce camion dans lequel j’ai du vivre pourtant des centaines si ce n’est des milliers d’ES.

-30.9s sur Ogier, -22.0s sur Tanak. Au bout de 21.3 km. J’en ai encore la chair de poule aujourd’hui en le racontant. Seb ne parviendra pourtant pas à remporter ce rallye, en partant à la faute le lendemain, très (trop ?) pénalisé par sa position sur la route ultra défavorable l’obligeant à une prise de risque maximale sur une route très dégradé.

Mais cette ES restera en moi (comme ceux qui ont vécu à mes côtés) comme un moment hors sol, déconnecté de la réalité, où le temps s’est suspendu ce jour là pendant 15 min, 53 secondes, et quelques dixièmes….

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EnvironnementInternational

La Croix-Rouge Monégasque Lance Un Appel aux Dons Pour l’Australie

par 21 janvier 2020
2 minutes read

Pour répondre aux nombreux besoins causés par les feux de brousse qui sévissent en Australie depuis septembre, la Croix-Rouge australienne constitue un fonds de secours et de relèvement auquel vous pouvez contribuer en faisant un don à la Croix-Rouge monégasque. 

Tandis que les feux de brousse affectent de nombreuses communautés à travers l’Australie à une échelle sans précédent depuis septembre 2019, la Croix-Rouge australienne apporte une aide aux dizaines de milliers de victimes, pendant et après l’urgence.

Les impacts des incendies sont nombreux et ne se comptent pas seulement en perte de vies humaines ; des milliers de maisons, d’animaux sauvages et de lieux sacrés et spéciaux ont été détruits ; le bilan physique et émotionnel est également très lourd. La fumée dans l’air, les vagues de chaleur extrêmes et les incendies qui continueront de brûler pendant des mois sont autant de conséquences à prendre en compte, qui vont orienter dans les mois à venir, les orientations prises pour répondre aux besoins humanitaires en Australie.

Création d’un fonds Croix-Rouge de secours et de relèvement

Le Fonds de secours et de relèvement en cas de catastrophe de la Croix-Rouge australienne a été créé pour aider les gens à se préparer aux catastrophes, à y faire face et à s’en remettre. Ce fonds est actuellement dépensé pour répondre aux besoins immédiats des victimes. Cela inclut les subventions financières directes à toutes les personnes à travers l’Australie qui ont perdu leur maison à cause des feux de brousse depuis juillet 2019. Une aide financière plus importante est prévue pour ces familles dans les mois à venir.

Dans le même temps, qu’il s’agisse d’abris et de fournitures de secours pour les personnes bloquées, d’informations et de premiers soins psychologiques dans les centres d’évacuation, ou d’appels téléphoniques et de visites à domicile dans les communautés essayant de nettoyer et de reconstruire, la Croix-Rouge coordonne une réponse multiforme à des centaines d’urgences à travers tout le pays.

La situation se poursuivra encore durant les prochains mois, aggravée par la sécheresse et la chaleur extrême. L’argent qui aura été collecté pour le fonds continuera de garantir que les équipes d’urgence disposent des ressources nécessaires et sont prêtes à répondre aux besoins.

Donner à la Croix-Rouge monégasque pour aider les Australiens

La Croix-Rouge monégasque lance un appel aux dons pour soutenir la Croix-Rouge australienne dans sa réponse d’urgence et à plus long terme, comme en ce moment pour les incendies.

Vous pouvez faire un don en précisant « Catastrophes Australie » :

  • Par chèque bancaire ou en espèces, à la Croix-Rouge monégasque – 27 bd de Suisse, Monaco
  • Via notre site Internet croix-rouge.mc , en sélectionnant « Catastrophes Australie » sur l’interface de don en ligne
  • Par virement bancaire (RIB disponible sur notre page web dédiée aux dons)

Le suivi de vos dons sera réalisé par la Croix-Rouge monégasque. Un grand merci pour votre générosité.

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21 janvier 2020 0 comments
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Sécurité

Simulation d’incendie dans le Port de Monaco

par 21 janvier 2020
1 minutes read

Mardi 14 janvier 2020, en fin de matinée, s’est tenu un exercice incendie sur bateau dans le secteur du quai Jules Soccal, dans le Port de Monaco.

Cet exercice regroupait l’ensemble des unités d’intervention et de secours de la Principauté mobilisées dans ce type de circonstance. Le scénario visait à simuler un incendie sur un bateau de petite taille avec une personne bloquée dans l’habitacle.

Sous le commandement du Corps des Sapeurs-Pompiers, la Division de la Police Maritime et Aéroportuaire, la Direction des Affaires Maritimes, la Société d’Exploitation des Ports de Monaco et la Marina du Yacht Club ont ainsi pu travailler les automatismes, la coordination et la répartition des domaines d’actions de chacun.

Un autre exercice sera effectué en 2020 sur un bateau de plaisance de plus grande taille.

Cet exercice a mobilisé :
– pour le Corps des sapeur-pompiers: 4 engins, 1 embarcation, 1 drone, un échelon de commandement ;
– pour la Division de la Police Maritime et Aéroportuaire: 2 embarcations dont 1 avec des personnels plongeurs ;
– pour la Direction des Affaires Maritimes: 1 cadre de liaison et 1 embarcation ;
– pour la SEPM & le YCM : 4 zodiacs et une dizaine de personnes.

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EnvironnementInternationalPalais

Le Prince Albert II et sa Fondation évoquent les incendies d’Australie

par 20 janvier 2020
3 minutes read

Dans une dépêche officielle adressée par le Palais Princier, le lundi 6 janvier, S.A.S. le Prince Albert II de Monaco a souhaité témoigner de son soutien au Premier Ministre australien, Scott Morrison, alors que des incendies géants ravagent le pays depuis plusieurs mois engendrant des pertes considérables pour la biodiversité et mettant en danger les communautés locales. Le Prince Souverain a adressé tous ses remerciements aux services d’urgence et aux bénévoles qui luttent contre ces violents incendies au péril de leur vie.

Pr. Tim Flannery, éminent biologiste et paléontologiste australien, spécialiste des questions climatiques et Membre du Conseil d’administration de la Fondation Prince Albert II de Monaco, y voit une urgence supplémentaire à redoubler d’efforts pour réduire l’impact négatif de nos activités humaines sur l’environnement. Dans une déclaration, Tim Flannery souligne que cette saison des feux géants intervient alors que 2019 est l’année la plus chaude et sèche jamais enregistrée en Australie. Au 12 janvier 29 personnes ont péri, 10 millions d’hectares ont déjà brulé, un milliard d’animaux ont été affectés et 6000 bâtiments détruits. Une situation catastrophique dont l’Australie mettra sans doute des décennies à se remettre.

Tim Flannery tire la sonnette d’alarme : les gaz à effet de serre dus à nos activités humaines augmentent la probabilité qu’une telle année se répète tous les 8 ans seulement. C’est pourquoi la situation en Australie doit faire réagir l’ensemble des pays afin qu’ils redoublent d’efforts et relèvent leurs objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

Au vu de l’urgence écologique, la Fondation Prince Albert II de Monaco, s’engagera sur le terrain auprès d’organisations locales, au titre de ses missions de préservation de la biodiversité et de lutte contre le changement climatique. Afin que son aide soit la plus efficace possible, la Fondation collabore avec le Pr. Tim Flannery, l’Ambassade de Monaco et le réseau de Consuls Honoraires en Australie, en vue d’identifier les organisations et projets à soutenir pour favoriser la restauration de la richesse des écosystèmes.


Dépêche officielle de S.A.S. le Prince Albert II de Monaco au Premier Ministre Australien, Scott Morrison:

“_Mister Prime Minister, _

Deeply shocked by the continued bushfires faced by your country and their devastating impact on people and nature, I want to express my heartfelt condolences to those affected__. 

I have sadly seen that entire towns have been engulfed in flames, that residents across several states have lost their homes, especially in New South Wales, and that wildlife and the environment have undergone extensive damages; a situation exacerbated by persistent heat and drought. 

My Family and the population of Monaco join the grief of the bereaved. Please let me thank and commend the emergency services who are struggling to contain the massive blazes, and those who put their own lives in danger to help communities in need. 

Let me assure you of our deepest sympathy at these times of difficulties. Our thoughts and prayers are with those across Australia who are continuing to struggle with these catastrophic events.”


Déclaration du Professeur Tim Flannery, Membre du Conseil d’Administration de la Fondation Prince Albert II de Monaco :

“_Australia’s unprecedented bushfire season has occurred during the hottest, driest year ever recorded in Australia. With 10 million hectares now burned (comparable to the area of England, which is 13 million hectares), a billion animals affected, nearly 6,000 buildings destroyed and 29 people dead, it will take decades for Australia to recover._
Natural factors would result in a year as hot as 2019 once every 350 years. But human caused greenhouse gases increase the odds to one year in eight. The greenhouse gases we all emit today are stoking the bushfires of tomorrow. It is critically important that all nations increase the ambition of their greenhouse gas emission reduction targets.”

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20 janvier 2020 0 comments
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Culture

La Légende et les célébrations de Sainte-Dévote

par 17 janvier 2020
2 minutes read

Dimanche 26 et lundi 27 janvier prochains se tiendront les célébrations de la Sainte Dévote, Sainte Patronne de Monaco, l’une des plus anciennes traditions de la Principauté puisqu’elle a été transmise par un document médiéval.

Selon la « Légende de Sainte Dévote », Devota (Dévote), jeune chrétienne Corse, aurait été martyrisée par le préfet Barbarus sous les Empereurs Dioclétien et Maximien. Son corps aurait été dérobé par des fidèles pendant la nuit suivant son martyr, mis dans une barque dans l’espoir d’être enterré en terre chrétienne. L’embarcation a été guidée par une colombe miraculeuse jusqu’à Monaco et la dépouille fut ensevelie le 27 janvier de l’an 303 ou 304 dans la chapelle du vallon des Gaumates, là où se dresse maintenant l’église consacrée à la Sainte.

Sous Honoré II, au XVIIème Siècle, Sainte Dévote est devenue patronne de Monaco.

La légende raconte encore que, bien des années plus tard, un brigand tenta de s’emparer des reliques de Sainte-Dévote. Les pêcheurs le rattrapèrent et firent brûler la barque avec laquelle il s’enfuyait.

Cet épisode est célébré depuis les années 1870 lorsqu’une barque est brûlée en présence de la Famille Princière.

Le 27 janvier, jour de la Fête, une messe solennelle est célébrée en la Cathédrale par l’Archevêque de Monaco. A son issue, une procession avec la participation des pénitents de l’Archiconfrérie de la Miséricorde prend la direction du Palais Princier avec la châsse contenant les reliques escortées par les Carabiniers du Prince.


La procession s’arrête alors sur la Place du Palais. Une Garde d’honneur et l’Orchestre des Carabiniers du Prince lui rendent hommage. Un célébrant bénit alors la Famille Princière avec les reliques. La procession se dirige ensuite vers les remparts où un autre célébrant bénit la ville et sa population. Enfin, de retour devant la cathédrale, un dernier célébrant bénit la mer et les pêcheurs.

17 janvier 2020 0 comments
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Sport

Monte‐Carlo accueillera le prochain Tennis Europe Junior Masters

par 16 janvier 2020
2 minutes read

L’édition 2020 du Tennis Europe Junior Masters se déroulera en principauté.

Le Masters est un événement majeur de fin de saison invitant une élite de joueurs composée des 8 meilleur(e)s garçons et filles des catégories 14 et 16 et moins du Tennis Europe Junior Tour. Parmi les anciens champions, on compte des joueurs tels que Rafael Nadal, Kim Clijsters, Alexander Zverev et Belinda Bencic.

Le tournoi se déroulera du 30 Octobre au 1er Novembre sur terre battue au sein du prestigieux Monte- Carlo Country Club, également lieu d’accueil de l’emblématique ATP Masters 1000.

Ce transfert à Monaco s’inscrit dans une stratégie d’amélioration globale du Masters, événement incontournable de fin de saison. Le classement “Race to Monte-Carlo” sera relayé sur les réseaux sociaux tout au long de l’année informant les joueurs et les fans en continu sur l’évolution du classement et de la manière de se qualifier. L’événement lui-même fera l’objet de nombreuses innovations ayant pour finalité d’offrir aux joueurs une expérience de vie inoubliable au sommet de leur sport.

La Baronne Elizabeth-Ann de Massy, Présidente de la Fédération Monégasque de Tennis, du Monte-Carlo Country Club et du Rolex Monte-Carlo Masters a déclaré: « C’est avec grand plaisir que j’attends d’accueillir le Tennis Europe Junior Masters sur nos courts. C’est également l’occasion de se remémorer notre longue histoire… A l’origine de notre tournoi, en 1897, nous avions également un tournoi féminin et en 1929 un tableau pour les moins de 23 ans a vu le jour, suivi par la création, en 1954, d’une compétition pour les juniors dédiée aux joueurs âgés de 17 et 18 ans. J’espère sincèrement que le Tennis Europe Junior Masters aura autant de succès que ses prestigieux prédécesseurs. »

Tennis Europe (par constitution « Fédération Européenne de Tennis ») est la plus grande association régionale de l’ITF (International Tennis Federation). Fondée en 1975 et composée de 50 pays membres, l’organisation à but non lucratif coopère avec des fédérations et autres parties prenantes pour organiser, coordonner et soutenir plus de 1 200 tournois internationaux de tennis (junior, senior et tournois Pro) chaque année à travers le continent. Tennis Europe joue également un rôle majeur dans l’éducation des athlètes et le développement du sport à travers le continent et entretient d’excellentes relations avec les circuits ATP, WTA ainsi que différents acteurs du monde du tennis.

16 janvier 2020 0 comments
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