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Environnement

Robert Calcagno défend les coraux sur France 2

par 6 octobre 2021
1 minutes read

Le corail occupe moins de 0,2% des fonds marins, mais abrite un quart des espèces marines. Pourtant, il disparaît :entre 2009 et 2018, 14% des coraux sont morts. En cause, le réchauffement climatique. « La répétition des vagues de chaleur n’est plus apériodique (…) du coup, elles ne permettent pas aux récifs coralliens de récupérer entre deux, donc on est dans un déclin constant »,explique Serge Planes, directeur de recherche au CNRS et directeur du laboratoire Excellence Corail, au CRIONE.

Lutter contre le changement climatique 

Quand un corail dépérit, il blanchit : les algues qui le nourrissent et lui donnent ses couleurs se détachent. Parmi les autres menaces, la pollution, la déforestation, qui génère des alluvions, et la surpêche. Partout dans le monde, associations et chercheurs procèdent à des bouturages, comme pour les plantes.

Elles sont toutefois très coûteuses, et la solution est inenvisageable à l’échelle de la planète.Une meilleure chose à faire selon Robert Calcagno, directeur général de l’institut océanographique de Monaco – Fondation Albert 1e, prince de Monaco ?« Lutter contre le changements climatiques ».

Lire l’original sur francetvinfo.fr

6 octobre 2021 0 comments
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Sortir

Programmes cinéma à Monaco du 6 au 12 octobre

par 6 octobre 2021
3 minutes read

A l’affiche au Cinéma des Beaux-Arts, du 6 au 12 octobre. Théâtre Princesse Grace, 12 avenue d’Ostende – 98000 Monaco

Plus de détails et horaires sur cinemas2monaco.com


Mourir peut attendre

Dans MOURIR PEUT ATTENDRE, Bond a quitté les services secrets et coule des jours heureux en Jamaïque. Mais sa tranquillité est de courte durée car son vieil ami Felix Leiter de la CIA débarque pour solliciter son aide : il s’agit de sauver un scientifique qui vient d’être kidnappé. Mais la mission se révèle bien plus dangereuse que prévu et Bond se retrouve aux trousses d’un mystérieux ennemi détenant de redoutables armes technologiques…

Candyman

Remake du film d’épouvante Candyman dont le scénario a été écrit par Bernard Rose (1992) d’après la nouvelle de Clive Barker, The Forbidden.

D’aussi loin qu’ils s’en souviennent, les habitants de Cabrini Green, une des cités les plus insalubres en plein cœur de Chicago, ont toujours été terrorisés par une effroyable histoire de fantôme, passant de bouche à oreille, où il est question d’un tueur tout droit sorti de l’enfer, avec un crochet en guise de main, qui pourrait apparemment être convoqué très facilement par qui l’oserait, rien qu’en répétant son nom 5 fois devant un miroir.

Dix ans après que la dernière des tours de la cité ait été détruite, l’artiste peintre Anthony McCoy et sa petite amie Cartwright, directrice de galerie d’art, emménagent dans un appartement luxueux, sur le site de l’ancienne cité, aujourd’hui complètement nettoyé et reconverti en résidence réservée à une classe sociale jeune et aisée. Alors que la carrière d’Anthony est au point mort, il rencontre par hasard un ancien habitant de la cité d’avant sa rénovation qui lui raconte ce qui se cache réellement derrière la légende du CANDYMAN. Désireux de relancer sa carrière, le jeune artiste commence à se servir des détails de cette macabre histoire comme source d’inspiration pour ses tableaux, sans se rendre compte qu’il rouvre la porte d’un passé trouble qui va mettre en danger son équilibre mental et déclencher une vague de violence qui en se propageant va le forcer à faire face à son destin.

Pourris gâtés

Le film fait partie de la Sélection Officielle de l’Alpe d’Huez 2021 Paresseux, capricieux, fêtards, les trois enfants de l’homme d’affaires Francis Bartek ne font rien de leur vie, à part dépenser l’argent que leur père a durement gagné. Lassé par leur comportement, celui-ci leur fait croire qu’ils sont totalement ruinés, les forçant ainsi à faire l’impensable: travailler !

Dune

L’histoire de Paul Atreides, jeune homme aussi doué que brillant, voué à connaître un destin hors du commun qui le dépasse totalement. Car s’il veut préserver l’avenir de sa famille et de son peuple, il devra se rendre sur la planète la plus dangereuse de l’univers – la seule à même de fournir la ressource la plus précieuse au monde, capable de décupler la puissance de l’humanité. Tandis que des forces maléfiques se disputent le contrôle de cette planète, seuls ceux qui parviennent à dominer leur peur pourront survivre…

Respect

Le film suit l’ascension de la carrière d’Aretha Franklin, de ses débuts d’enfant de chœur dans l’église de son père à sa renommée internationale. RESPECT est la remarquable réelle histoire retraçant le parcours de cette icône de la musique.

6 octobre 2021 0 comments
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Police-justiceSocial-santé

Le Comité pour la protection des droits des femmes s’insipire du collectif #Noustoutes

par 4 octobre 2021
1 minutes read

A l’instar du dispositif lancé en France en mars 2021 par le collectif féministe #Noustoutes, les boulangeries monégasques s’associent au Comité pour la protection des droits des femmes pour lutter contre les violences intrafamiliales en distribuant des sacs à pain sur lesquels figurent les numéros d’aide et d’urgence disponibles en Principauté.

Cette opération a pour but d’informer et de sensibiliser le grand public en utilisant un objet de la vie de tous les jours. « C’est un moyen (…) de rappeler qu’il existe des services de l’Etat et des associations à leur écoute » souligne Céline Cottalorda, déléguée interministérielle pour les droits des femmes qui poursuit « Peut-être que la présence de ce sac à pain dans les foyers suscitera des échanges».

150 000 sacs seront distribués. Les boulangeries Costa, l’Epi d’Or et Mullot ont accepté de participer à l’opération.

4 octobre 2021 0 comments
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Sortir

Les représentations artistiques de la folie aux Rencontres Philosophiques de Monaco

par 4 octobre 2021
1 minutes read

Dialogue – « L’art et la folie – les représentations artistiques de la folie »
Le 14 octobre de 16h à 18h au Pavillon Bosio, École Supérieure d’Arts Plastiques de la Ville de Monaco

Présenté par Raphael ZAGURY-ORLY, philosophe membre fondateur des Rencontres Philosophiques de Monaco

Avec Arnaud LABELLE-ROJOUX

« Une folie doit veiller sur la pensée », disait Jacques Derrida. Cette même folie ne doit-elle pas aussi veiller sur l’art ? Et si oui, comment la distinguer de la maladie, de la souffrance ou encore de la déraison ?

Or après avoir pensé cette distinction, comment repenser le rapport de cette singulière folie veillant sur l’art à la maladie, à la souffrance et à la déraison ? La folie peut-elle tracer une voie insoupçonnée et en même temps créatrice pour l’art ?

Lire l’original sur philomonaco.com

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International

La ville de Caudry hérite d’un appartement monégasque estimé à 7.5 millions d’euros

par 4 octobre 2021
2 minutes read

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« C’est vraiment un beau cadeau, très beau cadeau », se félicite Frédéric Bricout le maire de Caudry. Sans enfant, Louis Sandras styliste marié avec Héléna Beauvilain, la plus grande couturière des années 1930 selon l’élu, avait fait de sa ville natale son héritière à sa mort en 1985, laissant l’usufruit de l’appartement à sa seconde épouse qui est décédée cet été.

Et quand la notaire a annoncé à Frédéric Bricout l’estimation de l’appartement resté dans son jus depuis les années 50, il a eu un peu le tournis

Je me suis dit allez 700 000-800 000 euros, mais je m’étais trompé d’un zéro !

Sans compter la vente des biens à l’intérieur de cet appartement. Une jolie somme qui devrait représenter plus d’un quart du budget de la ville.

Un proche de la famille princière monégasque très attaché à sa ville natale

Et le nordiste exilé à Paris puis à Monaco où il était proche de la famille princière avait déjà de son vivant fait un beau cadeau à Caudry. En tant qu’ancien président du club de foot, il l’avait fait monter au niveau professionnel, et comme le terrain était devenu trop petit pour ce niveau, Louis Sandras avait offert un terrain pour le nouveau stade qui porte toujours son nom.

Selon ses vœux, une partie de l’héritage sera alloué à la future maison de santé. Et puis un tournoi de foot avec les 4 meilleurs clubs de foot du district Hainaut sera organisé tous les ans comme le voulait l’ancien président du club de foot.

Et le maire pense que ce cadeau inespéré permettra de faire plein d’autres choses comme finir de rénover des équipements de la ville, alors pour rendre hommage au généreux donateur, il envisage d’ériger une statue ou d’installer un médaillon à son effigie.

Lire l’article original sur francebleu.fr

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Police-justice

Pandora papers : l’enquête de Radio France sur la Côte d’Azur

par 4 octobre 2021
10 minutes read

À qui appartiennent les plus belles villas de la Côte d’Azur ? Difficile de répondre, tant les structures mises en place sont sophistiquées. Les Pandora Papers permettent de montrer que l’ingénierie fiscale et juridique mise en place a parfois pour but de cacher l’origine de l’argent.  

Sur le papier, la Côte d’Azur présente toutes les caractéristiques propices au blanchiment : cadre de vie agréable, proximité avec l’Italie et Monaco, marché dynamique des biens immobiliers de luxe, et présence de grandes fortunes françaises et étrangères. Mais la réalité le confirme : les « Pandora Papers », cette fuite de près de 12 millions de documents provenant de 14 cabinets offshore, obtenus par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) et partagés avec ses partenaires, dont la cellule investigation de Radio France, permet de comprendre comment des montages offshore sophistiqués ont servi à acquérir des biens immobiliers sur la Côte d’Azur. Via ces structures, des propriétaires ont pu cacher leur identité, réduire leurs impôts de manière plus ou moins légale, et injecter en France de l’argent dont on ne connaît pas l’origine.  

La technique de « l’auto-prêt »

Le nom d’Andrej Babis apparaît tout d’abord dans les « Pandora Papers ». Grâce à un montage complexe, il a acquis en 2009, deux biens immobiliers sur un terrain de trois hectares à Mougins dans les Alpes-Maritimes. Il a d’abord injecté 15 millions d’euros dans une société aux Iles Vierges britanniques, dont il était le bénéficiaire. Cette somme a ensuite été prêtée à une autre de ses sociétés, créée au même moment aux Etats-Unis, pour être finalement injectée par une société monégasque dans l’achat de ses biens immobiliers. Trois sociétés. Trois territoires. Et surtout un prêteur et un emprunteur qui semblent en réalité être la même personne.

Les caractéristiques de ce montage ressemblent en grande partie à ce que les spécialistes de la lutte anti-blanchiment appellent un « loan-back » ou « auto-prêt ». Cette technique peut être utilisée lorsque « l’origine des fonds de la société qui prête est douteuse », explique Maurice Feferman, directeur juridique de Swiss Life Assets Managers, et co-auteur de L’immobilier face au blanchiment et au financement du terrorisme. »Dans ce cas, le blanchisseur préfère passer par des montages ‘juridiquement complexes’ pour brouiller les pistes, et éviter que l’opération, si elle est trop directe, conduise le fisc français ou les services de lutte contre le blanchiment à s’intéresser de près à cette opération. »   

Des prêteurs anonymes

L’origine des fonds est souvent difficile à établir dans ces opérations immobilières. Lorsque l’argent n’est pas prêté par une banque, mais par une société, et a fortiori par une société offshore, il est difficile de savoir qui se cache derrière le prêteur. Dans les « Pandora Papers », on trouve des exemples concrets du recours à des montages opaques lors d’achats immobiliers sur la Côte d’Azur. Ainsi en 2012, une société civile monégasque a pu acquérir un bien immobilier à Grasse pour la somme de 12 millions d’euros. L’achat était financé par un prêt de 17 millions d’euros consenti par une société domiciliée aux Iles Vierges britanniques, Securicton Consolidated LTD.

Le prêt apparaît bien dans l’acte de vente. Le notaire a reçu des documents envoyés par le cabinet d’avocats panaméen ALCOGAL (Alemán, Cordero, Galindo & Lee), dont l’activité consiste à créer les sociétés dans les principaux paradis fiscaux. Mais ces documents ne précisent pas qui se cache derrière la société. Ils se contentent de démontrer que ladite société a bien une existence légale. Les seuls noms qui apparaissent sont ceux des gérants qui sont en réalité des prête-noms.

Le notaire qui a enregistré l’acte de vente est censé théoriquement déclarer ce genre de situation à Tracfin, le service de renseignement financier français. Tout soupçon concernant des montages qui pourraient s’apparenter à des opérations de blanchiment doit en effet être signalé. Des magistrats nous ont confirmé que, selon eux, l’importance de la somme, la présence de gérants de paille, le recours à un paradis fiscal, auraient pu conduire à une déclaration de soupçon.

Le notaire concerné par cette opération, et par plusieurs autres ventes impliquant également des coquilles vides aux Îles Vierges britanniques ou à Chypre, nous a répondu qu’en raison du secret professionnel, il ne lui était « pas permis de répondre sur des dossiers ou sur des clients qu’[il aurait] eu à connaître ». Et que s’il ne « respectait pas cette règle, tout client concerné pourrait engager à [son] encontre des actions judiciaires civiles et pénales ».  

Les travaux, autre outil de blanchiment

Lorsque les soupçons de blanchiment ne portent pas sur l’achat de biens immobiliers, ils peuvent apparaître lors de la phase des travaux. Les montants atteints sur certains projets de villas peuvent en effet facilement dépasser la barre des 10 millions d’euros. Et là encore, non seulement les montages utilisés sont très complexes, mais la question de l’intérêt économique de certaines opérations se pose. 

Par exemple, en février 2014, une société civile monégasque, la SCP New Redon, détenue, selon les documents issus des « Pandora Papers », par la société de gestion luxembourgeoise Euro-Providence, achète un terrain à Mougins pour 1,4 million d’euros. L’acte de vente ne fait apparaitre aucun prêt. Et pourtant, trois semaines auparavant, une société basée aux Iles Vierges britanniques, Bimis Holding Group LTD, a bien signé un accord de prêt avec ladite société luxembourgeoise.

Les caractéristiques de ce prêt interrogent. Il est consenti avec un taux d’intérêt à 0% et prévoit un remboursement en une seule fois au bout de cinq ans. L’argent a été viré par la société des Iles Vierges britanniques, depuis un compte bancaire de la Danske Bank en Estonie, (un établissement au centre d’un gigantesque scandale de blanchiment d’argent russe), pour finalement atterrir sur le compte de la SCP New Redon ouvert à la Julius Baer de Monaco.

Sept prêts pour huit millions d’euros de travaux

Entre janvier 2014 et septembre 2019, on peut retrouver la trace de sept prêts accordés par Bimis Holding Group LTD à la société luxembourgeoise. A chaque fois, l’argent est viré sur l’un des comptes bancaires de la SCP New Redon, notamment à la Julius Baer de Monaco. En tout, ce sont ainsi plus de huit millions d’euros qui ont été versés, et qui auraient servi à des travaux de construction sur le terrain acheté à Mougins. Un contrat a effectivement été passé directement par Bimis Holding, en tant que maître d’ouvrage, avec un architecte du Cannet pour une somme de 4,5 millions d’euros TTC peu après l’achat du terrain. Il prévoit la construction d’une villa principale, d’une maison de gardien, d’une piscine et d’un pool-house.

Mais qui a réellement payé ces travaux et effectué tous les virements depuis des comptes bancaires en Estonie puis à Guernesey ? Les Pandora Papers font apparaître le nom d’un ressortissant russe : Mikhail Zayts, sur qui nous n’avons trouvé que très peu d’informations en ligne. Il n’a donc pas été possible de le joindre pour savoir quel était son intérêt dans le financement des travaux d’une maison à laquelle il n’est officiellement pas lié, puisque son nom n’apparaît pas dans la transaction en France.

Dans son livre sur le blanchiment, Maurice Feferman évoque une situation qui ressemble à celle-ci. Dans un chapitre consacré à la question des travaux, il explique : « Une personne qui a peut-être des fonds d’origine douteuse ou non déclarés peut augmenter la valeur d’un bien en faisant réaliser les travaux, explique-t-il. Cela nécessite de faire appel à des entreprises peu regardantes sur l’origine des fonds, et cela permet de ne pas déclarer l’origine des fonds. » Selon nos informations, la maison de Mougins, d’une surface de 900 mètres carrés habitables est aujourd’hui en vente pour un prix de 30 millions d’euros.  

Des témoins qui ne sont pas obligés de signaler

Nous n’en saurons pas plus, puisque ni l’architecte, ni les époux français actionnaires de la société luxembourgeoise n’ont répondu à nos sollicitations. La gérante fiduciaire française de la société monégasque, qui travaille également en tant que gérante au sein d’une agence immobilière de luxe à Cannes, n’a pas non plus souhaité répondre à notre demande d’interview. Mais elle nous a tout de même livré un élément qui permet de mieux comprendre le fonctionnement de ces montages, et surtout, l’absence de signalement auprès de Tracfin des opérations litigieuses. 

Sur le recours aux places offshore, les virements et l’identité du propriétaire réel de la maison, elle a notamment expliqué à la cellule investigation de Radio France qu’elle n’était pas tenue à une obligation de signalement à Tracfin, contrairement à ses voisins de bureaux qui eux, en tant qu’agents immobiliers, sont tenus par la loi de signaler tout soupçons de blanchiment. Il apparaît donc qu’au sein d’une même structure immobilière, les rôles pourraient-être répartis. D’un côté, certaines personnes voient passer des flux douteux mais n’ont pas obligation de les signaler de par leur profession, tandis que de l’autres, leurs collègues, qui eux sont tenus par cette obligation, sont tenus à l’écart des montages opaques.  

La spectaculaire affaire Kerimov : achat frauduleux d’une villa à Antibes

La Côte d’Azur a récemment connu un fait divers retentissant impliquant un oligarque russe et des professionnels de l’immobilier. En novembre 2017, Suleyman Kerimov est arrêté à l’aéroport de Nice. Ce proche de Vladimir Poutine est soupçonné par la police d’avoir acheté une villa à Antibes 35 millions d’euros, alors qu’elle en a couté en réalité 127 millions. La différence aurait servi à payer sous forme de dessous-de-table des vendeurs et des intermédiaires. Une enquête a été ouverte, notamment pour fraude fiscale et blanchiment aggravé. Et on retrouve cités ou mis en cause : des avocats, des agents immobiliers, des mandataires judiciaires, des gérants, et des notaires… La société qui a acheté la villa a reconnu des faits de complicité de fraude fiscale, et a signé une convention judiciaire d’intérêt public (CJIP) accompagnée d’une amende de 1,4 million d’euros, en plus du redressement fiscal de plus de 10 millions d’euros.

De son côté la profession se défend. « On a beau demander des documents à l’étranger, des certificats juridiques sur la validité de la société, il y a une limite », explique Nicolas Meurot, président de la chambre des notaires des Alpes Maritimes. « Dans certains cas, on peut identifier le bénéficiaire, dans d’autres cas c’est extrêmement compliqué, notamment quand il y a une interposition de sociétés. » En 2020, les notaires français ont envoyé 1 546 déclarations de soupçons à Tracfin, portant sur une somme totale de 2,3 milliards d’euros. Un nombre en baisse de 15% par rapport à 2019. Mais « si cette baisse est majoritairement intervenue lors des mois de mars à mai, au plus fort de la crise sanitaire, la tendance s’est maintenue sur le reste de l’année », note le service de renseignement financier français dans son dernier rapport annuel.

Lire l’article intégral sur francetvinfo.fr

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Brèves

C’est la rentrée à la Fondation de Monaco

par 4 octobre 2021
1 minutes read

Le 28 septembre 2021, Madame Martine GARCIA-MASCARENHAS, nouveau Directeur de la Fondation de Monaco, à la Cité internationale universitaire de Paris (CIUP), a organisé la traditionnelle réception d’accueil des résidentes et résidents de l’année universitaire 2021-2022 dans le respect des mesures sanitaires en vigueur.

Ces dernières ont été rappelées pour assurer la santé et la sécurité de toutes et tous, lors d’un moment d’échange convivial qui a permis au futur Comité des résidents d’évoquer les activités qui reprendront au cours de l’année avec un calendrier prometteur pour la promotion de la Principauté. La Maison de 77 chambres héberge aussi des étudiants originaires d’autres pays que la Principauté.

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EconomieFocusInternational

« Jeune Afrique » lève le voile sur l’empire Monaco Resources

par 30 septembre 2021
12 minutes read

Depuis la reprise des actifs de Necotrans en 2017, le groupe monégasque (MRG), présent dans la logistique, les mines et l’agribusiness, s’est emparé d’une pléthore de terminaux en Europe et en Chine, qu’il souhaite connecter à ses infrastructures africaines.

On le dit secret. Rares en effet sont les images de lui à apparaître sur la toile. Plus rares encore sont les concurrents, anciens salariés ou acteurs économiques monégasques qui acceptent de s’exprimer à son sujet.

Au début de juillet, Axel Fischer, président du non moins discret groupe polyvalent Monaco Resources (MRG, 5 500 employés), présent notamment dans la logistique et dans les mines, décide pourtant de tomber le masque, au septième étage de son siège dont les fenêtres donnent sur le Rocher.

« Nous n’avons rien à cacher », déclare-t-il à Jeune Afrique dans ce qui constitue sa première interview à la presse.

Une discrétion savamment cultivée ? « J’ai souhaité, avant de nous exposer, que l’on soit d’abord modeste, que l’on fasse nos preuves », poursuit le dirigeant d’origine allemande, devant une élégante bibliothèque où trônent des photos, dont une de lui en smoking au côté du prince Albert de Monaco.

Un chiffre d’affaires en constante augmentation

Né en 2011 du rachat dans la principauté du négociant en acier Steelcom, le groupe a réalisé selon son rapport annuel en 2019 un chiffre d’affaires de 1,02 milliard d’euros (251 millions d’euros de profits), soit presque deux fois celui de 2017 (656 millions d’euros). Il table sur 1,5 milliard d’euros de revenus en 2020.

Cette croissance intrigue. À la fois par la taille de MRG et par le profil de ses dirigeants, jusque-là inconnus au sein des secteurs dans lesquels ils se développent, telle la logistique où règnent de vieilles familles bien établies, les Bolloré, Saadé (CMA CGM), Aponte (MSC), Moller (Maersk)… tout aussi célèbres que taiseuses.

Ses très nombreuses filiales ont les ressources naturelles pour fil conducteur

Détenu par le holding chypriote Cycorp First Investment (de la Franco-Libanaise Pascale Younès, dont la carrière s’est faite dans le pétrole, et par ailleurs compagne d’Axel Fischer), MRG paraît au premier abord insaisissable.

Il a, dans un laps de temps très court, réalisé de nombreuses acquisitions. Ses filiales, qui se comptent par dizaines, gardent toutefois toutes le même fil conducteur : les ressources naturelles.

Concession minière en Guinée

C’est en Allemagne, via sa filiale Metalcorp, que MRG trouve son origine, avec une usine de métallurgie axée sur le recyclage d’aluminium. Laquelle détient une concession minière de bauxite de 25 ans en Guinée (300 millions de tonnes de réserves), un projet s’élevant à 1,4 milliard de dollars.

MRG concurrence l’opérateur belge Sea Invest sur de nombreux marchés

Mais c’est en 2015 que sa diversification commence avec le rachat de Nectar, une société anglaise spécialisée dans l’ensachage de riz détenant des terminaux de vrac (charbon, céréales, riz) au Mozambique, en Sierra Leone, au Liberia et aux Philippines, également actif au Sénégal, au Bénin, au Togo et au Ghana.

Des pays où MRG concurrence notamment l’opérateur belge Sea Invest, qui gère un terminal vraquier à Abidjan et à Dakar, et au sein duquel le monégasque a d’ailleurs débauché plusieurs de ses cadres. Parmi eux : Olivier Ruth, directeur du développement, qui occupait un poste similaire à Sea Invest.

« Le non conteneurisé est un créneau de niche très rémunérateur car, en Afrique, il n’y a pas, pour des raisons de volume, deux ou trois terminaux vraquiers concurrents sur un même port. Ils acquièrent donc de facto un monopole. MRG gagnera beaucoup d’argent s’il réalise beaucoup de volume. La croissance du BTP porte à le croire », estime l’expert en questions maritimes Yann Alix.

Le tournant Necotrans

Informé en 2017 par Nectar – qui en convoitait certaines infrastructures – de la liquidation du logisticien français Necotrans, MRG crée la surprise en rachetant au dernier moment les dix-neuf agences maritimes africaines en perdition, quand Bolloré s’empare, lui, des terminaux de son meilleur ennemi.

Racheter les actifs de Necotrans a permis à MRG d’accéder aux places africaines

« Avant qu’ils nous approchent, nous n’avions jamais entendu parler d’eux », témoigne un ancien de l’époque Necotrans.

« Racheter ces queues de comète de Necotrans qui ne valaient plus grand-chose a permis à MRG d’accéder aux places africaines. Il s’agit d’une pratique courante pour atteindre des marchés difficiles », témoigne un bon connaisseur du secteur.

Sous la nouvelle entité R-Logistic, le monégasque y procède à une véritable réorganisation des équipes, se séparant des ex-collaborateurs au profit de compétences locales.

Cette restructuration n’a pas manqué de susciter tensions et rancœurs du côté des anciens, des expatriés français qui avaient pour la plupart, et depuis longtemps, développé leurs propres connexions. Le groupe ne compte qu’une quarantaine de salariés à Monte Carlo (sur environ 900 au total).

Un spectre d’activités très large

Après avoir ouvert de nouvelles agences en Mauritanie, au Cameroun, au Tchad et en Centrafrique en 2019, R-Logistic, qui s’est retiré de RDC, prévoit d’ouvrir une succursale au Congo-Brazzaville. S’il compte parmi ses concurrents dans certains pays, Bolloré est aussi à l’instar de CMA CGM l’un de ses clients.

MRG recrée d’une certaine manière Necotrans, qui de logisticien a voulu devenir trader minier et remonter jusqu’aux produits

L’étendue des activités du groupe, qui détient par ailleurs 90 000 hectares de terres agricoles, témoigne d’une grande vitalité. Il est actif dans le riz au Congo-Brazzaville, dans la vanille bio malgache, la transformation alimentaire, la maintenance des pipelines, la manutention aéroportuaire au Gabon …

« MRG recrée d’une certaine manière Necotrans, qui de logisticien a voulu devenir trader minier et remonter jusqu’aux produits. Mais il le fait en sens inverse, en partant des matières premières qu’il sait trader jusqu’à l’expertise logistique, un peu comme les forestiers qui, après avoir exploité et développé les forêts, créent des routes, les connectent à des ports, aménagent les infrastructures énergétiques. Ou comme Olam qui a la capacité avec Arise de construire des ports et de maîtriser le flux en amont. MRG pourra orienter ses flux sur ses infrastructures », décrit Yann Alix.

Présent dans 45 pays et 40 terminaux portuaires

C’est en juin 2019 que le groupe, qui finance sa croissance par l’émission d’obligations à Londres et Francfort, a conclu sa plus importante opération en prenant le contrôle d’Euroports, en partenariat avec deux fonds publics belges, auprès d’autres véhicules d’investissements qui arrivaient à maturité.

« De quoi nous positionner comme un acteur global sur la scène mondiale auprès des grands noms du secteur des matières premières », poursuit Samir Idrissi-Ouaggag, directeur général de R-Logistic, qui a repris le périmètre de Necotrans. Jusqu’à constituer un nouvel empire, qui s’étend désormais dans 45 pays, et 40 terminaux portuaires …

C’est en Afrique que se fera le développement de notre groupe

À travers Euroports, MRG prend pied dans 26 ports en eau profonde, qui lui permettent de rayonner de Rostock (en joint-venture avec Total) jusqu’aux terminaux chinois de Gao Lan et Changshu, en passant par Charleroi, Gand, Venise, Tarragone (Espagne), la Turquie, la Bulgarie, la Finlande.

Il est le premier opérateur de vrac à Anvers (porte d’entrée européenne pour les marchandises africaines – cacao, café, coton – et premier expéditeur de véhicules d’occasion vers l’Afrique), où il accompagne notamment la Compagnie fruitière.

Autant d’implantations qui lui donnent accès à un large spectre de matières premières : sucre, fruits, minerais et fertilisants, métaux, produits forestiers …

« Nos revenus proviennent d’Europe, où les flux se réduisent, et de Chine, où ils stagnent. C’est en Afrique que se fera le développement de notre groupe. Il existe des flux miniers entre le port de Tarragone [en Espagne] et l’Afrique du Sud. Aujourd’hui, nous déchargeons du papier en Chine, notamment en provenance d’Amérique latine, mais nous regardons comment y décharger des produits africains, comment faire pour connecter tous nos actifs », explique Frédéric Platini, DG de R-Logitech (428 millions d’euros de revenus en 2019, plus de 70 millions de tonnes traitées par an), la structure qui coiffe la division logistique, désormais la plus importante du groupe.

Ce développement répond à plusieurs logiques. Car il s’agit désormais pour MRG de créer des synergies entre toutes ses entités et de capter les grands clients internationaux d’Euroports, comme par exemple ArcelorMittal et Mitsui, qui pourront aussi devenir ceux de R-Logistic.

MRG peut créer un réseau de franchises mondiales comme l’a fait DP World

« Nous souhaitons développer un vrai réseau en Afrique pour ces clients, et donner à notre entité africaine un vecteur de croissance à travers les volumes que nous gérons en Europe et en Chine », commente Samir Idrissi-Ouaggag.

« Ce ne seront plus des négociations de volumes sur une seule place, mais bien au niveau global. MRG peut créer un réseau de franchises mondiales, comme l’a fait DP World, offrir à terme des contrats globaux et une qualité de services à de gros clients jusqu’ici mal servis en Afrique », analyse Yann Alix.

Nous avons compris que 80 % du coût des ressources naturelles était lié à la logistique

Mais, globalement, il s’agit aussi de maîtriser la chaîne logistique, d’intégrer différents métiers et de diversifier ses risques, alors que le secteur des ressources naturelles est par essence fluctuant.

« Nous avons compris que 80 % du coût des ressources naturelles était lié à la logistique, aux routes, aux barges, au transbordement et au déchargement des bateaux » , souligne Frédéric Platini.

« Cela répond à une pure logique comptable, car en devenant logisticien, MRG génère de la valeur ajoutée pour son propre compte plutôt que pour des opérateurs tiers », analyse Yann Alix.

Stratégie prudente

En tant que négociant sur le marché des ressources minérales et agricoles, le monégasque mène une stratégie prudente qui vise à acheter sur le marché sans spéculer.

« Nous ne sommes pas exposés aux fluctuations. Nous ne souhaitons pas être rémunérés sur la base des prix du marché mais pour les services que l’on offre dans la logistique, la production, la transformation. Certes, on gagne moins à court terme. Si le prix des matières premières augmente, on ne gagnera pas beaucoup plus. Mais, s’il chute, on aura toujours des revenus car les besoins logistiques seront toujours-là », détaille Axel Fischer, qui se rend trois ou quatre fois par an sur le continent.

Nous allons développer l’exportation de la bauxite vers la Chine

C’est ainsi que MRG mène la construction du port de Konta (au sud de Conakry), destiné à l’évacuation de la bauxite de sa mine de Garafiri, par sa filiale, la Société des bauxites de Guinée (SBG). MRG, qui espère commencer l’acheminement de la bauxite dès la fin de 2020 suit de près la construction de la route, qui a beaucoup progressé depuis le début de l’année.

« Le plus gros consommateur de flux de bauxite est la Chine, pas l’Europe. Nous allons en développer l’exportation et en faciliter la transformation localement », poursuit Samir Idrissi-Ouaggag.

Le groupe commencera en septembre les travaux pour rendre la rivière Fatala navigable aux petites barges chargées de la bauxite de la mine de Boffa, propriété de Chinalco. Il a obtenu pour cela en octobre 2019 une concession exclusive.

« À terme, ce sera un vecteur massif d’exportations de minéraux. Chaque opérateur minier se soucie actuellement de sa propre logistique sans qu’il y ait une mutualisation des moyens. La Guinée, qui exporte 100 millions de t de bauxite par an, devrait voir ses volumes doubler », expose Frédéric Platini.

L’entreprise qui ne souhaite pas se développer dans le transport conteneurisé discute en ce moment avec les autorités guinéennes pour ajouter un terminal fruitier à son port minéralier, un terminal polyvalent qui désengorgerait le port de Conakry.

Terminaux vraquiers en série

Comme le confient par ailleurs ses dirigeants, MRG a été approché par AP Moller Capital, le fonds de la famille Maersk devenu actionnaire de plusieurs filiales du logisticien Arise, pour investir dans des projets communs.

Et il planche déjà sur d’autres terminaux vraquiers, au Liberia, en Sierra Leone, au Ghana et au Bénin, guettant les appels d’offres, sans se désintéresser de la logistique pétrolière au Sénégal et en Mauritanie.

« Si l’on ressent qu’il y a un besoin, on peut être force de proposition pour la construction d’un terminal vraquier et demander à l’État de nous confier sa concession », ajoute Frédéric Platini.

Sans compter son intérêt pour la gestion d’un terminal de fret à l’aéroport d’Abidjan et son ambition de transformer localement les matières premières minérales ou agricoles.

Une croissance silencieuse qui en agace certains

Selon Axel Fischer, le groupe travaille en Afrique de l’Ouest à un important rachat de plus de 100 millions d’euros ainsi qu’à une opération comprise entre 50 et 100 millions d’euros, sur laquelle il ne compte pas s’exprimer pour l’instant.

Une croissance silencieuse qui agace certains acteurs du secteur, qui ne manquent pas de l’éreinter, notamment au sujet des domiciliations du holding et de ses filiales.

Notre taille implique désormais de communiquer davantage

« Nous ne sommes pas offshore, mais onshore. Monaco n’étant pas membre de l’Union européenne, nous avons dû, afin de faciliter l’acquisition d’Euroports, avoir une structure au Luxembourg. Là-bas, nous pouvons réduire l’organisation et les coûts. On ne peut pas avoir de filiale qui n’embauche personne. On a un bureau à Chypre, des employés, on y paie des impôts », répond-il.

« Nous sommes partis de zéro, et notre taille implique désormais de communiquer davantage », reconnaît Axel Fischer au sortir de ce premier exercice avec la presse.

D’ailleurs, ayant désormais levé un coin du voile, MRG recherche activement un directeur de la communication.

« On a atteint une taille critique suffisante, on souhaite développer la rentabilité de nos actifs. On est trop gros pour être discret », conclut Frédéric Platini.

Lire l’article original sur jeuneafrique.com

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Sortir

L’Impératrice Eugénie Amie et voisine de la Principauté de Monaco

par 30 septembre 2021
1 minutes read

Le samedi 9 octobre prochain, sera commémoré en Principauté le centenaire de la disparition de l’Impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III, amie et voisine de la Principauté de Monaco.

A cette occasion, une série de conférences permettra d’en apprendre un peu plus sur le destin de l’Impératrice Eugénie et ses liens avec la Principauté, en particulier avec le Prince Albert Ier.

  • Réservation à l’avance à la billetterie de l’Atrium du Casino de Monte-Carlo, du mardi au samedi, de 10h à 17h30 (tél. +377 98 06 28 28), ou retrait sur place le jour même.
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Culture

Assouplissement des mesures sanitaires à l’Opéra

par 30 septembre 2021
1 minutes read

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La situation sanitaire globale s’améliorant en Principauté, le Gouvernement a donc d’assouplir certaines mesures, tout en continuant de maintenir les gestes barrières afin d’assurer la sécurité de tous.

Conformément à ces nouvelles mesures, les présentes dispositions seront prises pour les prochains spectacles :

  • La capacité d’accueil de la salle à 100%
    • Le pass sanitaire n’est pas exigé
    • Le port du masque reste obligatoire
    • Aucun service de bar ou restauration ne sera proposé

Informations Billetterie

Pour le récital Angela Gheorghiu :

Toutes les personnes ayant fait une demande de réservation, y compris celles précédemment placées en liste d’attente, seront contactées pour procéder au règlement de leurs places.

Pour Madame Butterfly et Il corsaro :

Les demandes de réservation seront traitées et confirmées très prochainement, dans la limite des places disponibles.

Concernant tous les spectacles 2021, la billetterie est actuellement ouverte sur notre site internet, par téléphone ou directement au guichet. Des places seront également proposées sur montecarloticket.com.

Concernant tous les spectacles 2022, le service ouvrira à partir du 20 octobre.

Lire l’article original sur opera.mc

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