Le prince Albert II de Monaco a exprimé son « immense tristesse » et rend un vibrant hommage à Albert Croesi, soulignant ses qualités exceptionnelles telles que son engagement, son énergie, son sens du devoir et de l’intérêt général, ainsi que son dévouement indéfectible envers la Principauté de Monaco et la famille princière. Mais avant la diffusion officielle de ce communiqué, le souverain avait pris le temps de saluer personnellement la mémoire de son ami.
Une perte ressentie par tous
La disparition brutale d’Albert Croesi est une grande perte pour de nombreux Monégasques. Sa fidélité et son engagement envers son pays étaient admirés de tous. Il a joué un rôle clé dans les commémorations du prince Rainier, ainsi que dans les Rencontres des sites historiques et le Pavillon Monaco. Il a également apporté son soutien au gouvernement en trouvant des solutions pour les personnes ayant besoin d’un logement.
Un serviteur dévoué de l’État
Même s’il n’avait pas les titres ou la formation d’un haut fonctionnaire, Albert Croesi a été un grand serviteur de l’État. Son dévouement total envers son pays et la famille princière en faisait une personne précieuse pour la Principauté. Il a su instaurer une dimension humaine dans les processus administratifs, en établissant des liens entre les besoins administratifs et la réalité du terrain. Son rôle lors de l’opération de relogement des Jardins d’Apolline a été particulièrement remarquable.
Des commémorations qui se poursuivent
Les commémorations en l’honneur du prince Rainier se poursuivront sans la présence d’Albert Croesi. Les équipes travailleront ensemble pour respecter l’esprit et les souhaits qu’il avait imprégnés. Un hommage appuyé lui sera rendu pour saluer son engagement sans faille.
Des liens amicaux durables
Au-delà de leurs relations professionnelles, le prince Albert II entretenait une amitié solide avec Albert Croesi depuis plus de quarante ans. Ils se sont côtoyés régulièrement et ont partagé de nombreux repas ensemble. La disparition brutale d’Albert Croesi touche personnellement le prince Albert II, qui le considérait comme un ami cher.