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mercredi 24 décembre 2025
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InternationalPolitique

Qui est le nouveau ministre d’État de la Principauté

par 6 juin 2025
4 minutes read

Philippe Mettoux, magistrat de formation et actuel membre du Conseil d’État français, a été nommé par S.A.S. le Prince Albert II pour succéder à Didier Guillaume au poste de ministre d’État de Monaco. Cette nomination intervient dans un contexte délicat, à la veille d’une visite d’État historique d’Emmanuel Macron.

Le Prince Souverain a officialisé la nomination de Philippe Mettoux au poste de ministre d’État de la Principauté de Monaco, avec prise de fonction le 4 juillet 2025. Ce choix marque un tournant dans la gouvernance monégasque, après la disparition brutale de Didier Guillaume en janvier dernier, emporté par une maladie fulgurante à l’âge de 65 ans.

Un parcours exemplaire dans la magistrature

Philippe Mettoux, sexagénaire, présente un profil atypique pour ce poste clé de la Principauté. Formé à l’École nationale de la magistrature, il a débuté sa carrière comme substitut à Dijon avant de devenir procureur de la République au Tribunal de Grande Instance de Sens en 1993. Titulaire d’une maîtrise de droit privé et d’un DEA d’histoire du droit, il a ensuite exercé comme procureur en Bourgogne, où il s’est forgé une solide réputation dans le milieu judiciaire.

En 2000, sa carrière prend un tournant décisif lorsqu’il intègre le ministère de la Justice, rejoignant la direction des affaires criminelles et des grâces, puis le Service central de prévention de la corruption. Ces postes stratégiques lui permettent d’acquérir une expertise approfondie dans la lutte contre la délinquance financière et la corruption, compétences qui s’avéreront précieuses dans ses futures fonctions.

Conseiller des plus hautes autorités

L’expérience de Philippe Mettoux dans les hautes sphères de l’État s’enrichit considérablement lorsqu’il devient conseiller auprès de personnalités politiques de premier plan. Il accompagne d’abord Dominique Perben à la Chancellerie, puis Dominique de Villepin, successivement au ministère de l’Intérieur et à Matignon. Cette proximité avec le pouvoir exécutif lui confère une connaissance intime des rouages de l’État et des enjeux politiques complexes.

Selon plusieurs sources, Philippe Mettoux devient par la suite « l’un des piliers du club Villepin », témoignant de la confiance et de l’estime que lui portent les plus hautes autorités. Cette expérience gouvernementale constitue un atout majeur pour ses nouvelles responsabilités monégasques.

Une reconversion réussie dans le secteur privé

En 2013, Philippe Mettoux opère une transition vers le secteur privé en rejoignant la SNCF en qualité de directeur juridique et de la conformité du groupe, tout en conservant son statut de membre du Conseil d’État en détachement. Dans cette fonction, il supervise également les missions de médiateur interne de l’entreprise, gérant les conflits et les contentieux au sein du groupe ferroviaire.

Cette expérience de plus de dix années à la SNCF lui apporte une vision entrepreneuriale et une maîtrise des enjeux économiques contemporains, complétant parfaitement son background juridique et administratif. Sa connaissance des grands groupes publics et de leurs défis de modernisation représente un atout précieux pour Monaco, engagée dans une stratégie de diversification économique.

Un intérim salué par le Prince

La nomination de Philippe Mettoux intervient après six mois d’intérim assuré par Isabelle Berro-Amadei, Conseiller de Gouvernement-Ministre des Relations Extérieures et de la Coopération. Dans le communiqué officiel, S.A.S. le Prince exprime « Sa profonde gratitude envers Madame Isabelle Berro-Amadei pour avoir assuré, avec dévouement et efficacité, l’intérim des fonctions de Ministre d’État durant près de six mois ». Son « grand professionnalisme et sa connaissance des dossiers ont largement contribué à assurer la continuité de l’action gouvernementale », souligne le Palais.

Un contexte diplomatique sensible

Si la prise de fonction de Philippe Mettoux est programmée pour le 4 juillet, sa nomination survient à un moment crucial pour les relations franco-monégasques. Elle précède de peu la visite d’État d’Emmanuel Macron prévue le week-end du 7 juillet, première visite d’un président français depuis François Mitterrand en 1984. Cette coïncidence temporelle n’est pas anodine et témoigne de la volonté du Prince de présenter une équipe gouvernementale renouvelée à son homologue français.

Cette nomination intervient également alors que le Rocher fait face à l’affaire que certains appellent le « Monacogate », qui secoue la Principauté et nécessite une gestion politique particulièrement fine. L’expérience de Philippe Mettoux dans la lutte contre la corruption et sa connaissance des arcanes juridiques constituent des atouts précieux dans ce contexte délicat.

Un défi de taille pour la Principauté

En accédant au poste de ministre d’État, équivalent monégasque du Premier ministre, Philippe Mettoux hérite d’un mandat ambitieux. Il devra poursuivre les grandes orientations stratégiques de la Principauté, notamment en matière de transition énergétique, de diversification économique et de rayonnement international, tout en gérant les dossiers sensibles en cours.

Son profil hybride, alliant expertise juridique, expérience gouvernementale et connaissance du secteur privé, semble répondre aux défis contemporains de Monaco. La Principauté mise sur cette combinaison unique de compétences pour consolider sa position sur la scène internationale et poursuivre sa modernisation.

L’arrivée de Philippe Mettoux marque ainsi une nouvelle page dans l’histoire gouvernementale monégasque, avec un dirigeant formé aux plus hauts niveaux de l’État français et rodé aux enjeux économiques modernes, qualités essentielles pour guider la Principauté dans les années à venir.

6 juin 2025 0 comments
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EconomieInternational

[Dossier] Monaco et la transparence financière : une épreuve à surmonter

par 5 juin 2025
6 minutes read

La Principauté confrontée à des exigences renforcées en matière de lutte contre le blanchiment

La Principauté de Monaco traverse une période délicate sur le plan international. Le 4 juin 2025, la Commission européenne a annoncé son intention d’inscrire Monaco sur la liste des juridictions à haut risque en matière de lutte contre la corruption et le blanchiment de capitaux. Cette décision, qui doit encore être formalisée par le Parlement européen, intervient dans un contexte de renforcement généralisé des standards internationaux de transparence financière.

Un contexte international exigeant

Cette évolution s’inscrit dans la continuité des recommandations formulées par plusieurs organismes internationaux. En juin 2024, le Groupe d’action financière (GAFI) avait placé Monaco sur sa liste de surveillance renforcée, tout en saluant les « progrès significatifs » réalisés depuis 2022. Le président du GAFI, Raja Kumar, avait alors encouragé la Principauté à poursuivre ses efforts pour « combler des lacunes stratégiques » dans son dispositif de lutte contre la criminalité financière.

De son côté, l’organe européen Moneyval avait dès janvier 2023 appelé à des « améliorations fondamentales » dans la supervision et les enquêtes financières. Ces recommandations s’inscrivent dans un mouvement mondial de durcissement des normes, auquel tous les centres financiers internationaux doivent s’adapter.

Des réformes ambitieuses déjà engagées

Face à ces défis, Monaco a démontré sa détermination en adoptant un programme de réformes sans précédent. Neuf nouvelles lois ont été promulguées en 16 mois, dont plusieurs en mars 2024, visant à renforcer l’Autorité monégasque de sécurité financière (AMSF) et l’arsenal de lutte contre le blanchiment.

En avril 2025, la Principauté a adopté une Stratégie Nationale et un Plan d’action 2025-2027 spécifiquement dédiés à l’amélioration de ses standards financiers. Ce plan, coordonné par un Comité placé sous l’autorité du Ministre d’État et du Conseiller-Ministre des Finances, témoigne de l’engagement du Gouvernement Princier à répondre aux attentes internationales.

Les efforts de conformité se traduisent déjà par des résultats concrets : 38 sociétés ont été sanctionnées ces deux dernières années et demie pour des manquements aux règles anti-blanchiment, illustrant la fermeté des autorités monégasques dans l’application des nouvelles normes.

Les défis de la mise en œuvre

Malgré cette volonté politique affirmée, la Principauté fait face à des défis pratiques dans l’application de ces réformes. La taille réduite du territoire monégasque rend parfois difficile le recrutement rapide de personnel hautement qualifié dans les domaines techniques spécialisés. Cette contrainte, commune à de nombreux micro-États, nécessite des solutions innovantes et une coopération renforcée avec les partenaires internationaux.

Les défis de la gouvernance dans un micro-État

L’une des faiblesses structurelles identifiées par les observateurs internationaux concerne les modalités de nomination aux postes stratégiques dans la Principauté. L’analyse révèle que de nombreux postes-clés sont occupés par des personnalités issues des mêmes cercles familiaux monégasques, créant une consanguinité administrative préjudiciable à l’efficacité des institutions.

Cette pratique de transmission héréditaire des responsabilités a créé un système où les liens personnels ou familiaux priment parfois sur les compétences techniques et l’expertise professionnelle. Le rapport de juillet 2024 du GRECO (Groupe d’États contre la corruption) souligne explicitement cette problématique en recommandant une plus grande transparence dans les nominations aux postes de direction et l’application de règles déontologiques strictes au plus haut niveau de l’État.

L’affaire de l’ancien administrateur des biens du Prince, Claude Palmero, constitue un exemple emblématique de ces dysfonctionnements. Cet expert-comptable de 67 ans avait directement hérité de son poste de son propre père, qui occupait déjà cette fonction sous le règne du Prince Rainier III. Cette concentration des pouvoirs financiers entre les mains d’une seule personne, pendant plus de vingt ans, sans véritable supervision externe, illustre les risques inhérents à ce système de cooptation.

Cette logique de reproduction des élites a eu pour conséquence, selon les analystes, de limiter l’accès aux responsabilités pour des profils potentiellement plus qualifiés, freinant ainsi le renouvellement nécessaire des compétences et des méthodes de travail. Elle a également contribué à créer un environnement où les conflits d’intérêts et les arrangements informels pouvaient prospérer, au détriment de la transparence et de l’efficacité administratives.

Un renouvellement administratif nécessaire

Face à ces constats alarmants, on observe depuis plusieurs mois une évolution dans la composition de l’Administration. Plusieurs collaborateurs de longue date ont été remplacés. Ces changements, qui auraient dû intervenir bien plus tôt, témoignent d’une prise de conscience tardive mais nécessaire des défaillances du système précédent.

Cette transition administrative, indispensable pour restaurer la crédibilité des institutions monégasques, doit permettre l’émergence de nouveaux profils sélectionnés sur la base de leurs compétences réelles plutôt que de leurs connections familiales ou relationnelles. L’enjeu est de taille : la concentration des responsabilités au sein d’un cercle restreint d’administrateurs avait créé une situation dangereuse où les pouvoirs financiers étaient centralisés sans contrôles suffisants. Cette organisation défaillante, qui privilégiait la proximité personnelle au détriment de l’expertise technique, a directement contribué aux dysfonctionnements actuellement pointés par les instances internationales.

Les recommandations du GRECO insistent à juste titre sur la nécessité urgente de diversifier les profils aux postes stratégiques et d’introduire une transparence totale dans les processus de nomination.

Un contexte judiciaire en mutation

Parallèlement, la justice monégasque démontre son indépendance et sa détermination à faire respecter la loi. Le procès actuellement en cours au tribunal correctionnel, impliquant d’anciens hauts fonctionnaires de police pour des faits présumés de corruption, illustre cette volonté de transparence et de justice, quelle que soit la position des personnes concernées.

Ces procédures judiciaires, loin d’être un signe de faiblesse, témoignent de la maturité des institutions monégasques et de leur capacité à se réformer. Elles s’inscrivent dans une démarche d’assainissement nécessaire pour l’avenir de la Principauté.

Des conséquences à relativiser

Si l’inscription sur la liste européenne constitue indéniablement un défi pour l’image de Monaco, il convient de rappeler que cette mesure n’entraîne pas de sanctions économiques directes. Il s’agit d’un signal d’alerte réglementaire qui impose aux établissements financiers une diligence renforcée, mais qui n’affecte pas les fondamentaux économiques de la Principauté.

Monaco conserve ses atouts structurels : sa situation géographique privilégiée, son expertise dans les secteurs du luxe et des services haut de gamme, sa stabilité politique et sa fiscalité attractive. Le PIB monégasque a d’ailleurs progressé de 5% en 2023, témoignant de la robustesse de son économie.

L’opportunité d’un renouveau

Cette période difficile peut paradoxalement représenter une opportunité pour Monaco de moderniser davantage ses structures et de renforcer sa position de place financière de référence. L’exemple des Émirats Arabes Unis, retirés de la liste noire européenne le même jour où Monaco y a été inscrit, démontre qu’une sortie rapide est possible avec les réformes appropriées.

La visite d’État du président français Emmanuel Macron, prévue le 7 juin, s’inscrit dans cette perspective de dialogue constructif avec les partenaires internationaux. Cette visite historique – la première d’un chef d’État français depuis 40 ans – témoigne de la solidité des liens entre Paris et Monaco et de la confiance dans la capacité de redressement de la Principauté.

Les réformes en cours, soutenues par une justice indépendante et des institutions solides, permettraient à Monaco de continuer à incarner l’excellence et la probité qui caractérisent traditionnellement la Principauté. Cette période de transition, bien que délicate, s’inscrit dans la vision à long terme d’un Monaco moderne, transparent et respectueux des plus hauts standards internationaux.

5 juin 2025 0 comments
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International

Monaco inscrit sur la liste noire européenne des pays à haut risque de blanchiment

par 5 juin 2025
2 minutes read

La Commission européenne a décidé d’inscrire Monaco sur sa « liste des juridictions de pays tiers à haut risque » en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme. Cette décision, révélée mercredi 4 juin par le quotidien La Lettre, place la Principauté aux côtés de l’Afghanistan, la Corée du Nord, la Barbade et le Panama.

Bruxelles reproche à Monaco des « insuffisances stratégiques dans ses dispositifs de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme ». Pierre-André Chiappori, ministre monégasque des finances et de l’économie, a qualifié ces informations de « bruits fallacieux » sans commenter davantage.

L’eurodéputé français Damien Carême, rapporteur sur la lutte contre le blanchiment, confirme cette inscription et pointe du doigt le manque de transparence de Monaco, notamment concernant la provenance des fonds dans les achats immobiliers. La guerre en Ukraine et les sanctions contre la Russie ont exacerbé ces problèmes de traçabilité.

Des efforts récents mais insuffisants

Monaco a pourtant créé en septembre 2023 l’Autorité monégasque de sécurité financière (AMSF), dirigée depuis le 3 mars 2025 par Bruno Dalles, ancien patron de Tracfin de 2015 à 2019. Cette nomination n’a pas suffi à convaincre les autorités européennes du sérieux des efforts déployés.

Parallèlement, les affaires continuent de ternir l’image du Rocher. Début juin s’est tenu le procès de policiers monégasques impliqués dans un système de fausses résidences destiné à faire échapper des contribuables à l’impôt. Le prince Albert II lui-même est concerné par l’affaire Claude Palmero, son ancien administrateur des biens dont le licenciement fait l’objet d’un contentieux.

Monaco était déjà inscrit depuis juin 2024 sur la « liste grise » du Groupe d’action financière (GAFI), qui soumet les pays à une surveillance renforcée. Cette nouvelle inscription européenne intervient à quelques jours de la visite d’État d’Emmanuel Macron prévue les 7 et 8 juin dans la Principauté.

L’inscription sur cette liste noire n’entraîne pas de sanctions financières directes mais expose Monaco à des contrôles renforcés de sa place financière, des marchands d’art et des commissaires-priseurs opérant sur le territoire.

5 juin 2025 0 comments
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International

Circulation fortement perturbée les 7 et 8 juin pour le Blue Economy Forum et la visite d’Emmanuel Macron

par 4 juin 2025
2 minutes read

À l’occasion de la tenue du Blue Economy and Finance Forum au Grimaldi Forum et de la visite d’État du Président de la République française, Emmanuel Macron, la Principauté de Monaco met en place des restrictions de circulation pour le week-end des 7 et 8 juin 2025.

Fermetures de routes et déviations

Le samedi 7 juin de 6h à 20h et le dimanche 8 juin de 6h à 17h, l’avenue Princesse Grace sera fermée dans les deux sens entre le rond-point du Portier et celui de la Rose des vents. Seuls les résidents de certains immeubles pourront y accéder, en empruntant le rond-point de la Rose des vents. Le boulevard Louis II sera également fermé dans les deux sens le dimanche de 12h30 à 16h, tout comme l’accès piéton entre le Portier et le retournement Pattaya. Durant ces coupures, les accès au parking Louis II et au Monte-Carlo Star seront interdits.

Des interruptions ponctuelles de circulation sont attendues sur plusieurs axes, notamment entre Monaco-Ville, Monte-Carlo et le Larvotto, en fonction des déplacements des délégations. Des difficultés d’accès sont également prévisibles en provenance du tunnel autoroutier et de la moyenne Corniche vers l’entrée ouest de la Principauté.

La circulation piétonne sera restreinte sur la voie aval de l’avenue Princesse Grace (réservée aux personnes accréditées), les piétons devant emprunter le trottoir amont ou Mareterra. L’accès au boulevard Louis II sera interdit aux piétons le dimanche de 12h30 à 16h.

Concernant les bus, les lignes seront déviées durant les horaires de coupure de la circulation. Les lignes 1, 2, 3 et 4 conserveront leurs trajets habituels à l’aller comme au retour. La ligne 5 sera limitée à la Place des Moulins à l’aller et reprendra son itinéraire après un détour par la Place du Casino. La ligne 6, en direction de Saint-Roman, sera également déviée via le boulevard d’Italie et le boulevard des Moulins. Enfin, le service de bateau-bus sera suspendu durant les deux jours, avec une reprise prévue le lundi 9 juin.

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Brèves

Inscriptions ouvertes aux formations judiciaires pour l’année 2025-2026

par 4 juin 2025
1 minutes read

L’Institut Monégasque de Formation aux Professions Judiciaires (IMFPJ) ouvre les inscriptions à ses programmes de formation pour l’année judiciaire 2025-2026. Trois parcours distincts sont proposés, chacun adapté à un public spécifique en lien avec les métiers du droit.

Le programme « Examens et concours », d’une durée de 180 heures, combine cours théoriques, entraînements pratiques et un stage de théâtre destiné à la préparation aux épreuves orales. Il s’adresse aux candidats monégasques souhaitant se présenter à l’examen du barreau, au concours de la magistrature ou à d’autres examens d’accès aux professions judiciaires.

La certification professionnelle, accessible sans condition de nationalité, propose 60 heures de formation en droit monégasque. Elle est destinée aux futurs greffiers, assistants spécialisés, juristes de l’administration judiciaire, collaborateurs d’avocats, clercs de notaires ou huissiers.

Un module d’initiation au droit monégasque est également proposé. Ce programme de 20 heures est conçu pour les professionnels du secteur privé confrontés à des situations juridiques dans l’exercice de leur métier, notamment les traducteurs-interprètes, agents immobiliers, experts ou assureurs.

Les inscriptions sont ouvertes du 2 au 30 juin 2025. Les agents et fonctionnaires de l’État intéressés sont invités à contacter directement l’IMFPJ par e-mail. Les informations détaillées sont disponibles sur le site imfpj.mc.

4 juin 2025 0 comments
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Environnement

Monaco accueille un forum sur l’économie bleue avant la grande conférence de l’ONU sur l’océan

par 4 juin 2025
2 minutes read

Monaco se prépare à jouer un rôle clé dans une séquence internationale de dix jours consacrée aux océans durables. La Principauté accueillera les 7 et 8 juin le Blue Economy and Finance Forum, événement stratégique qui précédera la troisième Conférence des Nations Unies sur l’Océan qui se déroulera à Nice du 9 au 13 juin.

Le forum monégasque vise à connecter les acteurs engagés dans le développement d’un environnement océanique durable avec les investisseurs publics et privés. L’enjeu financier est considérable, puisque les besoins de soutien sont estimés à 175 milliards de dollars par an.

Cette conférence internationale, co-organisée par la France et le Costa Rica, rassemblera 150 délégations représentant plus de 30 000 participants, dont une cinquantaine de chefs d’État et de gouvernement. Elle s’intitule « Accélérer l’action et mobiliser tous les acteurs pour conserver et utiliser durablement l’océan ».

Le Centre Scientifique de Monaco mobilise ses chercheurs

Le Centre Scientifique de Monaco participera activement à l’ensemble de la séquence avec plus d’une trentaine de chercheurs spécialisés en biologie marine, biologie polaire, économie bleue et santé humaine. L’institution présentera des contributions inédites sur la résilience des coraux tropicaux, les protocoles de reproduction assistée du corail rouge de Méditerranée, et le repeuplement des manchots en mer de Weddell en Antarctique.

Le CSM organisera également le 11 juin à Nice une conférence dédiée aux espèces marines sentinelles, ces espèces clés de voûte des écosystèmes océaniques. Cette session abordera leurs réactions aux bouleversements mondiaux, leur rôle dans la signalisation des basculements écosystémiques, l’évaluation des impacts socio-économiques de la dégradation marine sur la santé humaine, et les innovations technologiques pour leur étude.

La séquence débutera dès le 3 juin avec le One Ocean Science Congress à Nice, qui réunira plus de 2000 chercheurs pour produire des recommandations scientifiques destinées à éclairer les décisions de la conférence onusienne.

4 juin 2025 0 comments
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Environnement

Monaco mobilise contre la pollution plastique pour la Journée mondiale de l’Environnement

par 2 juin 2025
1 minutes read

La Principauté organise jeudi 5 juin une journée de sensibilisation dédiée à la lutte contre la pollution plastique, thématique retenue cette année par les Nations Unies pour la Journée mondiale de l’Environnement. Un stand d’information sera installé au bas de la rue Princesse Caroline de 9h à 17h30.

La Direction de l’Environnement, accompagnée de plusieurs acteurs engagés de la Principauté, proposera un programme d’animations et d’ateliers pour présenter les alternatives au plastique à usage unique. L’Association Ecoscience Provence participera à cette sensibilisation en expliquant comment détecter les fausses solutions et en présentant les actions menées par les commerçants et restaurants engagés de Monaco.

Un programme d’animations variées

Green Box Monaco présentera ses solutions logistiques zéro déchet avec ses caisses de transport réemployables de 9h à 11h30. La Direction du Tourisme et des Congrès exposera ses outils pour faciliter le tri des déchets aux visiteurs étrangers et son guide du tourisme vertueux de 9h30 à 12h.

Ecoslowasting dévoilera les secrets de sa plateforme anti-gaspi de 11h30 à 14h30, tandis que le Jardin Animalier sera représenté par Laurent Peyronnel de 13h30 à 17h30. La Mission pour la Transition Energétique expliquera les avantages de « Ma Consigne » de 14h à 17h30, et la Mairie de Monaco présentera sa « Petite boîte » contre le gaspillage alimentaire dans les restaurants de 14h30 à 17h30.

Cette journée s’inscrit dans la continuité des mesures déjà mises en œuvre par le Gouvernement monégasque : interdiction des sacs plastique depuis 2016, interdiction des emballages plastiques à usage unique, et actions de nettoyage des plages. La Journée mondiale de l’Environnement, célébrée depuis 1974 dans plus de 100 pays, constitue une plate-forme mondiale de sensibilisation du public aux enjeux environnementaux.

2 juin 2025 0 comments
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Politique

Thomas Brezzo répond au gouvernement : décryptage d’une mise au point calculée

par 1 juin 2025
4 minutes read

Après le communiqué du gouvernement princier du 30 mai qui dénonçait des « critiques blessantes », Thomas Brezzo a tenu à apporter sa réponse. Dans une déclaration mesurée, le président du Conseil National clarifie la position de l’Assemblée et réaffirme sa fonction de contrôle institutionnel.

Une mise au point sur les fonctionnaires

Thomas Brezzo commence par écarter tout malentendu concernant les agents de l’État. « Le Conseil National a toujours reconnu la grande qualité du travail des fonctionnaires et agents qui œuvrent quotidiennement au service de l’État », précise-t-il.

Pour étayer ses propos, il rappelle les mesures concrètes votées par l’Assemblée en faveur des agents publics : prime de fin d’année, indexation des traitements, vote de la loi sur le statut des fonctionnaires. Une façon de démontrer que les critiques formulées lors de la conférence de presse du 27 mai ne visaient pas les personnes.

Le recentrage sur les questions d’organisation

Le président du Conseil national réoriente le débat vers les questions structurelles. Il évoque « l’organisation et le manque de moyens humains dont souffrent certains services de l’administration », des problématiques que les élus « soulignent régulièrement et de longue date auprès des membres du gouvernement, notamment lors des débats budgétaires ».

Cette reformulation permet de distinguer entre la qualité du travail des agents et les difficultés organisationnelles des services, particulièrement face aux retards législatifs ayant « des conséquences sur la réputation internationale de la Principauté ».

La revendication du rôle de contrôle

L’élu défend ensuite la légitimité de l’action du Conseil national. « Le Conseil National est ainsi parfaitement dans son rôle en rappelant à chacun les engagements que le gouvernement avait pris fermement à échéance du printemps 2025 », affirme-t-il.

Cette formulation place l’intervention de la représentation nationale dans le cadre institutionnel normal : le contrôle de l’exécutif par le législatif. Une fonction constitutionnelle que revendique pleinement le président de l’Assemblée.

La question budgétaire en toile de fond

La déclaration se conclut par une référence aux futurs budgets. Thomas Brezzo conditionne « le vote par les élus des prochains budgets » au respect des engagements gouvernementaux pris pour le printemps 2025.

Cette mention, sans être un ultimatum, rappelle les prérogatives budgétaires du Conseil National et place les discussions à venir dans un calendrier politique précis.

Une stratégie de réponse structurée

La déclaration de Thomas Brezzo suit une logique de réponse méthodique :

  • Clarification de la position sur les fonctionnaires
  • Recentrage sur les questions d’organisation administrative
  • Revendication de la légitimité institutionnelle
  • Rappel des enjeux budgétaires futurs

Cette approche permet au président du Conseil national de répondre point par point aux critiques gouvernementales tout en maintenant sa position initiale sur les dossiers de fond.

Les prochaines échéances

Cette échange de communiqués intervient à quelques jours des réunions prévues en juin entre le gouvernement et le Conseil national sur les dossiers CTVD et centre commercial de Fontvieille.

La réunion publique organisée par les élus le 10 juin sur la priorité nationale s’inscrit également dans ce calendrier institutionnel chargé, où les questions de gouvernance et les dossiers concrets devront trouver des réponses.

La clarification apportée par Thomas Brezzo pose les bases de ces discussions à venir, en rappelant les positions de chaque institution dans le paysage politique monégasque.


La réunion publique sur la priorité nationale aura lieu le 10 juin à 18h30 dans l’hémicycle du Conseil national. Les rencontres entre gouvernement et élus sur les dossiers CTVD et centre commercial de Fontvieille sont programmées pour juin 2025.


Le communiqué intégral du Conseil National

J’ai pris connaissance avec étonnement de la communication du Gouvernement publiée sur ses réseaux sociaux, en référence à la conférence de presse de l’Assemblée du 27 juin dernier, et souhaite rétablir le sens légitime de nos propos.

A cet égard, je rappelle que le Conseil National a toujours reconnu la grande qualité du travail des fonctionnaires et agents qui œuvrent quotidiennement au service de l’État. L’Assemblée soutient constamment leur action, notamment par des mesures concrètes (prime de fin d’année, indexation des traitements, vote de la loi sur le statut des fonctionnaires…).

Néanmoins, face au retard pris en vue de l’adoption de textes législatifs et réglementaires dont certains peuvent avoir des conséquences sur la réputation internationale de la Principauté, les élus des Monégasques ont pointé du doigt l’organisation et le manque de moyens humains dont souffrent certains services de l’administration, ainsi qu’ils le soulignent régulièrement et de longue date auprès des membres du gouvernement, notamment lors des débats budgétaires.

Le Conseil National est ainsi parfaitement dans son rôle en rappelant à chacun les engagements que le gouvernement avait pris fermement à échéance du printemps 2025 et dont le respect conditionnera le vote par les élus des prochains budgets.

1 juin 2025 0 comments
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Politique

Passe d’armes entre le Conseil National et le Gouvernement

par 30 mai 2025
3 minutes read

Les élus sortent l’artillerie lourde, l’exécutif riposte par un communiqué cinglant

Une guerre des mots secoue la Principauté depuis le 27 mai. D’un côté, le Conseil national de Thomas Brezzo qui dégaine un réquisitoire sans concession contre « l’inertie gouvernementale ». De l’autre, un gouvernement princier qui sort de sa réserve pour dénoncer des « critiques blessantes et injustifiées ». Derrière cette escalade verbale, des tensions institutionnelles qui semblent s’installer à Monaco.

L’offensive du Conseil national : un timing calculé

Le 27 mai 2025, Thomas Brezzo et ses collègues élus n’y sont pas allés par quatre chemins. Lors d’une conférence de presse, ils dressent un inventaire à la Prévert des « dysfonctionnements » gouvernementaux : projet CTVD abandonné après des années (coût : un milliard d’euros !), centre commercial de Fontvieille en état de « délabrement », fusion télévisuelle dans l’impasse, embouteillages monstres lors du Grand Prix…

Le message est clair : après 130 jours d’intérim gouvernemental, « ça suffit ». Les élus réclament des « actes concrets » et pointent particulièrement du doigt la Direction des Affaires Juridiques, accusée d’entraver la publication de textes essentiels.

Mais le timing de cette sortie médiatique n’est pas anodin. À quelques jours seulement des réunions prévues avec le gouvernement sur ces mêmes dossiers, les élus choisissent délibérément la voie publique plutôt que le huis clos institutionnel.

La riposte gouvernementale : défense ferme et repositionnement

Trois jours plus tard, la réponse tombe. Sèche, ferme, le communiqué gouvernemental du 30 mai adopte une stratégie de défense institutionnelle.

Premier axe : protéger ses équipes. Le gouvernement dénonce des « critiques blessantes » envers ses fonctionnaires et met en avant le travail de la Direction des Affaires Juridiques, qualifiée de « remarquablement productive ».

Deuxième angle : questionner le calendrier. L’exécutif s’étonne du « moment choisi » par les élus et souligne que des réunions étaient déjà programmées sur ces dossiers pour juin 2025.

Choix stratégique : le gouvernement privilégie une approche procédurale en rappelant que les réunions institutionnelles prévues permettront d’exposer « les avancées réalisées par les services ». Une manière de renvoyer le débat vers les instances appropriées plutôt que sur la place publique.

Querelles en coulisses

Cette passe d’armes cache en réalité une bataille d’influence plus profonde. D’un côté, un Conseil national qui use de sa légitimité démocratique pour faire pression sur un exécutif affaibli par l’intérim prolongé. De l’autre, un gouvernement qui tente de préserver son autorité en jouant la carte institutionnelle.

L’enjeu ? L’opinion publique monégasque, dans un contexte où les grands projets s’enlisent et où la vacance au sommet de l’État commence à peser. Les élus misent sur la transparence et l’interpellation directe. Le gouvernement privilégie les canaux institutionnels et le travail en interne.

Le calendrier est serré : les réunions de juin entre exécutif et législatif s’annoncent cruciales. D’autant que les élus ont programmé une réunion publique dès le 10 juin sur la « priorité nationale » – nouvelle initiative de dialogue direct avec les citoyens.

Com’pol

Ce que révèle cette séquence, c’est la professionnalisation de la communication politique à Monaco. Exit les arrangements discrets de palais, place aux conférences de presse filmées et aux communiqués percutants.

Thomas Brezzo et ses équipes maîtrisent parfaitement les codes : vidéo sur les réseaux sociaux pour dénoncer l’état du centre commercial, timing médiatique calculé, formules choc (« situation intolérable », « retour vers le futur »)…

Face à eux, un gouvernement qui réagit par les canaux officiels : communiqué institutionnel, rappel des procédures, appel au « respect mutuel ». Deux approches qui reflètent des conceptions différentes du dialogue politique.

L’avenir institutionnel en question

Au-delà du spectacle, cette crise pose la question de la gestion efficace d’une principauté moderne avec un exécutif en intérim depuis plus de quatre mois ? Comment articuler le contrôle démocratique par le Conseil National et l’efficacité gouvernementale ?

Les prochaines semaines seront décisives. Soit les protagonistes trouvent un modus vivendi lors des réunions de juin, soit l’escalade se poursuit avec, à l’extrême, le risque d’une paralysie.


Les réunions entre le gouvernement et le Conseil national sur les dossiers CTVD et centre commercial de Fontvieille sont programmées pour juin 2025. Une réunion publique sur la priorité nationale aura lieu le 10 juin à 18h30 dans l’hémicycle du Conseil national.

30 mai 2025 0 comments
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Sport

Monaco s’incline face au Fenerbahçe en finale d’EuroLeague

par 28 mai 2025
2 minutes read

Monaco a vécu un rêve éveillé qui s’est achevé aux portes de la gloire européenne. Après avoir éliminé l’Olympiakos en demi-finale, la Roca Team s’est inclinée en finale d’EuroLeague face au Fenerbahçe Istanbul. Une défaite qui prive la Principauté d’un titre historique et qui s’explique principalement par la stratégie défensive parfaitement exécutée par l’équipe turque.

Le Fenerbahçe avait pourtant subi deux défaites face à Monaco en saison régulière. Mais sous la houlette de Sarunas Jasikevicius, les Turcs ont complètement modifié leur approche pour cette finale. L’entraîneur lituanien a opté pour une défense ultra-agressive, densifiant la raquette et multipliant les aides pour couper toutes les lignes de pénétration monégasques.

Une défense étouffante qui fait la différence

Cette stratégie défensive s’est révélée payante dès les premiers échanges. En bloquant systématiquement l’accès à la raquette, le Fenerbahçe a contraint Monaco à multiplier les tentatives à longue distance dans des conditions difficiles. Nicolo Melli s’est montré omniprésent dans les lectures défensives et les aides, orchestrant parfaitement le système mis en place par son entraîneur.

Khem Birch a incarné cette emprise défensive avec une performance remarquable en protection de cercle. L’intérieur canadien a imposé son impact physique et son intensité, devenant un véritable facteur X de cette finale. Son influence s’est ressentie dans chaque action défensive, perturbant constamment les tentatives offensives monégasques.

Privée de ses repères habituels, la Roca Team n’est jamais parvenue à retrouver le rythme offensif qui avait fait sa force tout au long de la compétition. Mike James et ses coéquipiers ont enchaîné les tirs compliqués en fin de possession, souvent bien défendus par des Turcs parfaitement organisés. Les systèmes offensifs de Vassilis Spanoulis se sont progressivement enrayés face à cette muraille défensive, malgré l’expérience et le talent de l’effectif monégasque.

Malgré une adresse également défaillante côté turc, c’est bien cette solidité défensive qui a permis au Fenerbahçe de renverser les pronostics et de décrocher le titre européen. Process Corporation propose une analyse vidéo détaillée des schémas défensifs déployés par l’équipe de Jasikevicius pour comprendre comment cette stratégie a suffi à faire basculer une finale d’EuroLeague.

Crédit photo : ASM, DR

28 mai 2025 0 comments
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