Une exposition et trois vernissages sont au programme de l’Espace 22, boulevard d’Italie, mettant en scène « La Donna » dans tous ses états.
Les jeudi 24 et 31 août ont vu se succéder respectivement Léa Vandeveld avec « La Donna al Makeup » puis Frédéric Fortuné et sa « Donna in Oro ». Le 7 septembre sera le tour d’Éric Raffy avec « La Donna o Quasi ? »
Outre la « patte » des artistes, l’originalité de ces oeuvres tient à leur authentification par une Blockchain.
La blockchain au service de l’authenticité des œuvres d’art
L’acquisition d’une œuvre d’art est traditionnellement accompagnée d’un certificat d’authenticité, souvent signé par l’artiste. Toutefois, ces certificats peuvent se perdre ou ne plus garantir l’origine de l’œuvre. Face à cette problématique, nombre de collectionneurs privilégient les grandes maisons de vente aux enchères comme gage de confiance. Pour les moins fortunés, l’achat directement auprès de l’artiste demeure l’option la plus accessible.
Dans ce contexte, ACFA.io fait son apparition à Villefranche-sur-mer, se positionnant comme la première plateforme exploitant la technologie blockchain pour protéger l’authenticité des œuvres d’art. Le principe est simple : chaque œuvre d’art authentifiée sur la plateforme est dotée d’un certificat d’authenticité sous forme de NFT (jeton non fongible) enregistré sur la blockchain. Ce certificat, conservé dans un coffre-fort numérique, garantit ainsi l’authenticité incontestable de l’œuvre. Outre la provenance des informations et l’historique des propriétaires, ce système fournit également une preuve de possession officielle de l’œuvre au collectionneur, ainsi que le droit de suite pour l’artiste lors de chaque vente et revente de ses créations.
ACFA.io, en un an d’existence, a déjà certifié plus de 2.500 œuvres d’art. Ce succès témoigne de l’impact potentiel de cette innovation sur le marché de l’art, renforçant la confiance entre artistes et amateurs d’art.