À une époque où les activités numériques deviennent de plus en plus récurrentes, de nombreuses personnalités à travers le monde commencent à comprendre leur valeur. Après les économistes, c’est au tour de la princesse Charlène de Monaco d’intégrer et d’adopter le Web3.
Le Web3 et les actifs numériques deviennent chaque jour plus présents dans la vie réelle. À cet effet, plusieurs personnalités s’en servent désormais pour répondre à certains problèmes humanitaires. Maintenant, c’est au tour de la princesse Charlène de Monaco de rejoindre la ronde.
En effet, la Fondation Princesse Charlène de Monaco SA (PCMFSA) a lancé sa première collection NFT le premier octobre. En collaboration avec l’artiste sud-africain Junaid Senechal-Senekal, cette collection de 15 pièces vient en aide aux enfants affamés en Afrique du Sud. Chacun de ces jetons non-fongibles représente des peintures d’enfants avec un filigrane du visage de la princesse Charlène.
Créée en 2012, la fondation s’efforce de faire participer les mécènes dans les initiatives qu’ils soutiennent. De ce fait, la princesse Charlène est convaincue que le Web3 pourrait permettre de créer des actifs méritant d’être collectés. Ainsi, il permettra de relier les mécènes ayant des initiatives philanthropiques entre eux. Pour plonger encore plus dans l’univers numérique, sa fondation est en partenariat avec Blokkoin, une plateforme d’échange de cryptomonnaies.
À travers cet accord, quiconque pourra faire des dons à la structure avec la crypto de son choix acceptée par l’exchange. La Princesse affirme que la blockchain est très différente des autres technologies. En effet, elle facilite le traçage des fraudes et le blanchiment d’argent. De ce fait, elle reste confiante quant au pouvoir du Web3.
Malgré les actions de la PCMFSA, la princesse Charlène de Monaco est consciente qu’il y aura toujours des enfants affamés dans le monde. De ce fait, même si sa fondation n’y met pas un terme, elle espère que la vue des NFT de sa collection le fera.
Article intégral : cointribune.com